Une visite tardive

*** Alors que le CyberMage approche des Hauts Quartiers, peu a peu, les ruelles décrépies cèdent la place à de belles avenues dégagées et surtout, gardées. Régulièrement, les points de controle se succèdent, à chaque entrée de quartiers. Chacun d'eux arborant son propre logo, fièrement affiché sur les uniformes de malabars prês à passer à tabac l'inconscient qui oserait les approcher sans posséder le sésame adéquat. Ces hommes semblent avoir été recrutés dans la plus terrible des prisons et manient leurs lourdes matraques comme s'il ne s'agissaient que de brindilles.

C'est là que Hyi Hyil déambule, indifférent aux regards courroucé des vigiles et s'attardant sur les signes extérieurs de pouvoir qu'il peut percevoir. Il sait que sa présence n'est pas acceptée et s'attend à voir surgir une escouade lourdement armée à chaque instant, et pourtant, il poursuit sa recherche...

Finalement, il trouve ce qu'il cherche.

Il met aussitot le cap sur ce nouvel objectif, confiant et serein.

Devant lui, se dresse un batiment imposant, le seul à disposer de son propre controle d'accès vers lequel il se dirige. Aussitot, les gardes se regroupent, prêts à l'accueillir et à l'éconduire aussi vite. Un molosse, véritable petite machine à tuer, dressé pour l'attaque, commence à gronder, puis court se cacher derrière les jambes de son maître alors que l'intrus s'approche lentement. ***

"Bonsoir, messieurs les gardes." *** Commence-t'il d'une voix calme et posée. *** "Menez-moi à votre chef et aucun mal ne vous sera fait. J'ai une proposition qu'il ne pourra refuser..."

*** Fidèles à leur entrainement, les gardes se sont déployés en arc de cercle autour de l'individu, prêts à lui tomber sur le râble pour le rouer de coups et le laisser pour mort dans le caniveau. Celui qui semble être le chef d'équipe s'avance d'un pas et réplique à l'étrange individu : ***

"Dis donc mon gars, tu crois nous impressionner ? Personne ne dérange le patron sans rendez-vous et je doute qu'un rigolo comme toi en ait un. Alors, t'es gentil, tu dégages ou, avec mes amis, on te ratatine !"

*** Tout en parlant, il triture sa matraque, impatient de s'en servir et inquiet de devoir affronter un être si singulier que ce gugus-là.

Il la brandit, menaçant.

En réponse à ce geste, le CyberMage sourit, de toutes ses dents.

Le vigile hésite, soudain très inquiet. ***

"Menez-moi à votre 'patron', je vous le conseille. Si vous tenez à la vie, faites-le..."

*** Le ton est calme et posé mais il est de plus en plus évident qu'il souhaiterait que ces hommes ne suivent pas ses conseils. Il veut les tuer, de préférence, très violemment ou de façon horrible... ***

Dans les facades intenres du bâtiments on entendait l'altercation qui se produisait à l'exterieur.
Certes elle n'était pas violente mais était empreinte de mystère et étrangement macabre.

La porte s'ouvrit derrières les molosses qui tenaient têtes au CyberMage.
Deux gardes sortaient, et un troisième, probablement pas un garde bien que plus petit et bien class', derrière eux.

-Il à quoi le minot là?

L'un des deux arrivant posait la question avec effarement voir un oucheron dans les haut quartier avait de quoi surprendre.

La troisème personne croisa rapidement du regarde l'intru, et le rebaissa aussi rapidement qu'il aurait pu le faire.

Il s'hasarda à parler mais sans en jaouter, le stricte minimum comme pour se cacher:

-Virez le...

Sa voix n'était pas aggreissive, peut-être plus appeurrée qu'autres choses.
Il semblait vouloir cacher qui il était.

-Comrpis monsieur...

Les deux autres molosses approchaient de l'étranger.
Le 3eme individu d'un blond décadent posé sur une base brune commencait lui à s'en aller assez rapidement sans chercher à recroiser son regard une fois d plus.

Une fois à bonne distance il se prit au plaisir de repenser comme il le devait, comme il s'y plait tant...

*Ce conard il cherche quoi?!*

Dans sa démarche aléatoire dans les rues marchande plus que bondées il se fît bousculer par une femme assez jeune.

-Excu...

Le blond se retourna rapidement et ne laissa pas le temps à la jeune femme de finir son mot qu'il l'avait déja égorgée avec ses fils...
Elle tomba dans un silence ahurissant
Tous avaient les yeux braqué sur Hypnovell.

-Dégagez d'ici j'suis pas d'humeur...

Il finit à peine sa phrase qu'il partit dans l'hyper silence et dans la desertique rue qui s'offrait à lui, laissant le corps inerte de la pauvre femme.
Il sortait des hauts quartier.
Une fois dedans il est tres voir trop facile d'en sortir.
Sa victime sait pourquoi à présent.

Un voix lui parvint, faible et selement murmurée. La voix d'une ombrepami celle déjà existentes
-Quelle belle démonstration d'autorité dis moi...

Elle n'essayait en aucun cas de contrefaire a voix, mais juste de parler un peu moins fort qu'à l'acoutumé. Sa voix s'en trouva pourtant changée.
-Tu sévirais donc aussi dans les hauts quartiers? Quelle drôle d'idée. Ou peut-être est-ce autre chose qui t'ammene ici...

La Cétra ne fasait aucun mouvement, elle restait simplement là derriere lui qui sortait juste des hauts quartiers. Elle restait dans l'ombre de murs
-Pauvre femme elle ne t'avait pourtant rien fait de...répréhensible. Que de violence alors que tu pourais être si calme.

Sa voi à elle était calme, d'un calme calculé, sadique, sarcastique et profondément serein la fois. Si ce n'éait elle on aurait pu croire qu'elle n'était là que pour parler.C'était peut être le cas après tout.

-J'avais envie de voir si j'étais connu la bas, et maintenant c'est claire ils se rappeleront de mon nom...

Son ton n'était aps oprressé et d'un calme olympiens, il était loin tres loin de l'instantn qui venait de préceder.

-Et toi? Tu fous quoi aussi près des hauts quartier?
Cest pas dans tes habitudes non plus?

Il se débrassa de la veste qu'il avait portée dans les quartiers, et la jetta au sol, enlevenat aussi au passage ses gants blanc en velour maculés de sang encore frais.
Il ne se retourna pas occultant à présent Airin qui se trouvait trop proche de lui pour ne pas le gêner.

-Je ne sais pas, pas grand chose, envie de changer d'air surrement. Et puis...les rues mahandes son en effervescence en ce mment, personne ne s'apperçoit de ladisparition de quelques objets de temps en temps. Et l'hypoccrisie regne ici en maître, c'est assez amusant de les voir tous ne se sociant de rien, juste d'eux personnllement. Pas que ça change des bas quartiers mais, ici ils ne saven presque pas qu'ils ne sont pas seuls ici. Insouciants, voila, ils son presque insouciant.

Elle fit une courte pause dans ses explications.
-Et en même temps tellement de rumeurs courent sur les hauts quartiers. C'est intriguan, et je suis curieuse de nature ce n'est plus un secret pour personn.

Elle sembait inventer tout ce qu'elle disait au fur et à mesure qu'elle parlait. Et ceci avec une aisance toute naurelle.

Le blond s'arrêta brusquement soit le fait qu'Airin se foute de lui le gêne, soit il voulait avoir les vraies raisons de sa présence en ces lieux...
Il se retourna un sourire carnacier encré sur son visage livide.
Il avait un doute il savait qu'Airin lisait aussi dans les pensées mais il ne savait pas si tel fut le cas à ce moment là...

-Expliques voir franchement pourquoi t'es la, tu serais pas plutôt entrain de me chercher des crosses?

Il savait tres bien que si cette dernière était la c'était nullement pour combattre pourtant, il l'incitait à se vendre d'une façon ou d'une autres.
Il n'était peut-être pas mentaliste mais il savait décrypter les expressions et autres mimiques propres au comportement humain.

Son regard restait focalisé dans celui de la Cétra, il était d'un calme impassible, il ne bougeait pas et attendait une réaction pour connaître le fin mots de l'histoire...

Elle perdit un instant sa superbe en répondant du tac-au-tac.
-T'emmerder, ça a toujours été mon passe temps favoris depuis qu j'ai appris à me battre un minimum et surtout depuis que je te connais...

Elle avaitété prise au dépourvu par cette question ce qui avai engendré une réponse assez rapide, et pas réfléchie dutout.
-Mais pou une fois nan, je viens pas pour toi désolée. J'avais envie de marcher un peu, les hauts quartiers sont pas un endroit où je vais pas souvent j'avais envie de voir un peu ce que c'était...

Elle avait repris une certaine contenance et ce calme qui ne la quittait plus que rarement ces derniers temps.
Pourtant elle ne cessait de se dire que s'il avalait cette histoire de promenade il serait très loin de celui qu'elle avait connu lors de leurs combats...ce serait dommage. Ou alors il se foutrait royalement sa tronche ce qui ne changerait pas tant que ça...

-Expliques moi pourquoi tu doutes tant d'un coup...
Son sourire était encore plus impressionant mettant en valeur ses piercings.
Il s'avanca de nouveau vers elle, le regard la dévisageant totalement.
Il garda un calme spéctaculaire pourtant il en était loin dans sa tête, beaucoup trop de théorie l'envahissait, surtout celle concernant son passé.

-C'est pas plutôt les rumeurs sur moi qui t'attirent?

Le ton était posé, il avait mit en avant une carte non négligeable, si jamais il s'était trompé il pourrait s'en mordre les doigts d'avoir effleurer ce que lui même redoute.
Alors face à elle, il savait tres bien que son erreure ne ferait pas un pli.
Il pencha la tête de octé pour faire craquer ses cervicales.
Le sourire toujours pendu auix lèvres et sonr egard toujours aussi inquiétant posé sur la jeune Cétra.
Il avancait jusqu'a la hauteur d'Airin.
Sa main droite bandée cachée dans sa poche, il ne semblait pas en souffrir, et son autres main cherchant dans une autres poche, le paquet de clopes ainsi que son briquet.
Arrivé devant elle il avait trouvé ses clopes et en posa une sur ses lèvres et l'alluma aussitôt avec son briquet logé dans sa paume.

Il tira un taf juste devant le visage d'Airin et le rejetta juste apres pour innonder la jeune fille de fumée.

-Alors j'attend...

Son ton était froid et limitte ironique, pourtant il semblait réelement impatient malgré lui.
Mais apres tout une réponse était toujours une chose que l'on attendait avec impatience, celle si ne ferais pas défaut à la règle.
Puis il reprit d'un ton plus feinté et ca volontairement audible, voir sur audible.

-Tu me prend pour un mariole ou un bouffon dans ce genre, tu pense que j'apprécie que tu te foutte de moi avec tes mytho aussi merdique?!

Il replaca son briquet dans sa poche, il était à présent à la mercie de la moindre voontée de la Cétra, et il était trop prêt pour pouvoir anticiper un coup si jamais il devait y en avoir un.

La fumée l'avait totalement réveillée à présent. Elle regardait Hypnovell qui s'était vancé, il tait prè, trop peut être pour sa propre santé.

-J'espere bien que tu n'apprécies pas. Mais bon tu devrais être habitué depuis le temps.

Elle avait repris une totale maîtrise physique d'elle même, pur ce qui était du entl ça venait assez rapidement. C'est fou ce qu'une soirée de calme peut changer quelqu'un...

-Bien sinon pour répodre à ta première question qui était la raison précise de ma présence ici, et ensuite le fait que ce ne soit pas toi simplement qui me fasse sortir des basses rues,je te répondrait qu'il est possible fortemen même que tu approches de la vérité.

Elle se jouait de sa patience, un jeu qui l'amusait beaucoup, à savoir si cétait réciproque.

- Tu dois bien te douter qu'il y a un minimum de choses qui m'attirent chez toi vu que souvent dès que tu es quelque part j'y suis aussi. Maintenant à savoir quoi c'est une autre chose.

Son regard restait concentré sur lui. Nulle émotion ne pouvait plus la trahir. Encore heureux il avait déjà vu le trouble qu'ila vait engendré plus tôt, ce n'était pas la peine de rajouter autre chose en prime. Ca l'énervait rodigieusement qu'il ai vu si vite, nan ça l'énervait de l'avoir laissé paraitre...e qu'il l'ai vu, cela revenait au même.

Dans letmps où elle parlait elle avait fait naîte ses éternelles griffes. Après ses paroles elle s'éait saisie de la cigarette qu'il état tranquilement entain de fumer pour la jeter plus loin.

-Fais gaffe, tu vas mourir jeune à cause de cette merde. Et puis je t'ai fait une promesse ya pas si longemps non? Tu t'en souviens?

Elle se refférait au combat qu'ils avaient eu devant l'église. Ce n'était pas à poprement parlé une promesse, encore moins à lui. C'éait un serment qu'elle s'était faite seule. Il mourrait de sa main ou demeurerait.

Il fronca les sourcils, étant donné qu'il venait de se foutre une clope dans le cul.
Le genre de chose qu'il detetsait se résumait à:
-L'occulter
-Le provoquer
-L'emmerder
-Et toucher à son orgueil profond
-Et la dernièe chose, surment la plus dangereuse pour l'enerver, c'était de bousiller ses clopes ou ses bouteilles et voir ses seringues.

Et Airin avait réuni trop de critères pour que son calme reste parfait.
Elle provoquait en insinuant qu'il finirait par mourrir de ses mains, elle occultait totalement ses question en donnant des réponses pré-machées, et ayant touché à sa clope elle l'emmerdait au plus haut point.

Pourtant mis à part son fronciement de sourcil l ne laissait rien paraître.
Il jouait toujours la carte de l'arrogance.
Et sereinement il reprit la conversation:

-J'ai plus de chance de crever avec mes clopes qu'avec toi...

Il engagea un nouveau sourire presque ironique et son regard changeait

-C'est bien de prendre soin de ton maître, petite chose qu'es-ce que tu ferais sans moi?

La voix devenait lourde et guturale, instable et désagréable.
Enfin la voix qui colait parfaitement à l'être qu'il était en toutes circonstances.
Froid, arrogant, narcissique, supérieur et assassin.

Il reprit une clope dans sa poche, et l'alluma directement avant de l'avoir posée sur ses lèvres.
Il jouait avec sa cigarette, il jonglait avec sa main gauche hors qu'il était droitier.
Il jonglait avec tellement de faciliter que cela en était déconcertant, surtout si on savait qu'il n'était pas ambidestre.

-Revenons en à ce que je veux...
Il posa sa main droite bandée sur ses précieux bijoux de famille, pour passer le temps de quelques secondes...

-Surtout que tu jous bien la comédie allez grouille toi j'ai pas que ca à foutre...

Il savait très bien qu'il jouait avec le feu, mais la réaction de dénie d'Airin prouvait qu'il n'avait pas tort d'insister, puisqu'il avait mit à disposition une porte d'entrée bien dangereuse à la portée d'Airin, et cette dernière n'effleura même pas cette ouverture de faiblesse.

Il restait souriant et toujours en position de faiblesse vis-a-vis d'une attaque possiblement iminente.

Elle n'avais plus rien écouté dès qu'il avait insinué qu'il était son maître.
Un seule et simple idée sétait imposé à son espri à ce moment: le tuer.

Elle le laissa débiter ce quil voulait jusqu'à ce qu'il se taise. Ce n'est qu'à ce moment qu'elle se décida à réagir.
Il était assez près. Elle avait toutes ses chances de le toucher.

Elle vit à peine son poing partir vers ce visage qu'elle supportait de moins en moins.

Elle ne voulait qu'une chose, sa mort, rapide, doulureuse si elle avait le temps et la volonté d'aller jusque là.
Elle sentait du sang couler le long de sa main, le sien, précipitée elle n'avaitpas rétractée ses griffes qui s'étaient planées dans sa paume. C'tait peu prs la seule chose qu'elle ressentait à présent.

Elle regrétait son calme d'il y a à peine une minute. Qu'importait à présent?

Elle n'avait d'autre maître qu'elle même,ce n'était pas un homme comme lui, fuyant de la vie, essayant d'ublier en vain son passé et de quoi il est conitué qui serait en positi d'être son maître.

Elle entendit ces paroles résnner dan sn espri mais auss ses oreilles. Elle avait prononcé ces mots sans s'en rendre compte.
Sa voix était tremblante de rage contenue avec peine.

Il ne vit le poing arriver qu'une fois la douleur étendue.
Un bruit d'os cassant se faisait entendre, pourtant il n'avait pas ronché à prendre le coup de pleine face.
Au contraire une fois au sol, il souriait il riait presque.
Heureux d'avoir brisé la concentration si cher à la Cétra.
Il apprenait de ses rencontres, et d'avoir ainsi "briser" la Cétra était une preuve qu'il la manipulait.
Il était capable de la faire réagir selon ses envies.
Par le vecteur d'une parole, ou d'un geste.
Il s'avait quoi toucher et torturer pour obtenir quelque chose.

Il porta sa main invalide à son nez, heureux qu'il ne soit pas briser, juste touché, le plus gros du poings était tombé sur ses piercing au niveau des lèvres.
D'ailleurs l'un de ces dernier, celui logé du coté intérieur gauche était arraché en partie, laissant un peu de sang couler.
Il se redressa le bas du visage en sang, mais on sentait qu'il était satisfait, et tres grandement, il était aux anges, il venait peut-être de perdre une clope et de cocher touts les critères d'enervement, mais à cet instant, au moment où il recut le coup il venait d'atteindre le somome.
Il en aurait presque jouit tant il savait qu'il venait de casser la preuve qu'Airin n'était pas si impénétrable mentalement.

Lui y était parvenu et sans grand mal mental, à force de connaître on trouve toujours la faille.
Inutile de frapper la porte blindée, quand le mur lui est faible.
Et il avait frappé là où Airin ne s'y attendait pas.
Et il avait frappé avec asez de force pour entrer avec ses gros souliers.
A présent assis il fouilla dans sa poche gauche pour trouver ses clopes.

Celle avec laquelle il jouait était tombé sur sa main gauche.
D'ailleurs il y avait un marque de brûlure.

Dans ses recherche il baissa la tête souriant sadiquement

-J'attend toujours... A moins que tu n'aime pas plus que cela être mon chien?

Il en rajoutait, mais la ce n'était plus pour la faille mais juste pour le plaisir sadique, purement sadique sans arrière pensées.

Il se releva sans mal, aucun, et reprit sur un ton plus cru:

-Tu n'admet pas ta faiblesse, pourtant regarde tu m'obéïs comme un esclave envers son maître.
Et tu peux pas le nier ca, tu viens de me le montrer ...

Il se reposa directement devant elle pour reprendre le jeu:

-Alors pourquoi tu es derrière moi ce soir?

La nuit en effet commencait à tomber.
Il faisait déa froid pourtant il ne bougeait pas, et se laissait balloter par les vent glacés, il souriait avec beaucoup de cruautée.

Il devait parler, elle voyait ses lèvres remuer, pourtant elle n'entendait rien de ce qu'il pouvait dire. La seule chose qui lui parvenait était une sorte de grondement sourd, il occupait tout. Elle sorit se rendant copte de ce qu'elle venait de faire. Elle venait de se condamner, de se perdre, elle-même.

Son esprit ne fonctionnait plus qu'au ralenti, elle était tombé dan une sorte de torpeur tandis qu'il palait et bougeait à sa guise devant elle. Si proche...

Elle ressentait parfaitement sa satisfaction et ses risons de l'être. Elle les comprenait et force était de rconnaître qu'il avait raison.

Elle s'était brisée deux phalanges, les piercings d'Hypnovell n'y étaient pas pour rien.
Elle souriait de comprendre ce qui le faisait sourire.
C'était idiot, tellement idiot.
Et dire que si elle ne l'avait pas suivit elle n'en serait pass là, à se dévoiler encore un peu plus face à lui.
Elle souriait de tant de faiblesse de sa part.
Elle souriait de haine, de détermination.
Un sourire qui n'avait plus rien d'humain, la tête baissée, elle souriait toujours.

Elle souriait encore lorsque la lame d'une de ses épée batârde le transperça de part en part.
Elle souriait encore lorsqu'elle s'entendit lui dire:
-Je voulais profiter du jour. Mais, sourit "maître", rie à t'en tuer, rit à ne plus pouvoir en chanter. Tu as ce que tu veux alors que je n l'ai pas, comme toujour...

Elle lui avait sussuré ces quelques mots. Rien ne cmptait aujourd'hui, ce soir, qu'il meurt ou q'il vive elle n'en avait que faire.
Elle souiait toujours lorsqu'ele l'abandonna aux portes des hauts quariers pour rejoindre ce qu'elle connaissait. our rejondre son Erode, celle qu'elle servait fidelement et pour qui elle n'aurait d'autre maître.

La lame ne s'était pas enfoncé de quelque centimètre mais lui passait littéralement d'un coté à un autre...
Il était pourtant debout, ce n'était pas la douleur qui l'accablait mais la surprise, il savait tres bien à quoi s'attendre, mais à ce moment la.
Il tenait debout force était de constaté qu'il n'y était pour rien.
Un caprice de la gravitée sans doute.

Ses yeux étaient grand ouvert et ne fixait à présent plus rien, juste empreinte d'un début d'agonie.
C'était risible ils venaient d'échanger leurs rôles, lui qui la domninait, il s'en retrouve mort (?)
Mort de rire, mort de honte il cherchait dans sa tête de quelles façon il était mort.
Aussi bien physiquement que mantalement il était mort.
Ce n'était pas la blessure en elle même qui allait le perdre, mais plutôt de se savoir à présent seul face à Erode et tout ses gardiens.

Pourtant cette blessure n'était pas annodine.
Elle le vidait de son flux vital.
Il s'ne foutait, il voulait savoir ce qu'il avait oublier, il n'agit jamais sans préméditaions sérieuse, alors pourquoi n'avait il pas vu venir ce coup?
L'épée largement pénetrée dans son abdomen commencait à lui lancer d'atroce douleur.
Pourtant l'ironie voulait qu'il reste debout encore.

Airin passa à coté de lui, sans regard, juste ce sourire.

Apres son passage il aurait presque remercié le ciel de ne pas être tombé devant elle.
Il s'écroula à genoux en silence, ses deux mains effleurant la sol.
Il levait le visage vers le ciel qui lachait de précieuse gouttes d'eau.
La douleur et le froid s'étendaient en lui.
Pertinement si il ne obugeait pas il était condamné, mais ironiquement si il venait à bouger il se viderait beaucoup plus rapidement de son sang.
Ce dernier se répandait en flaque autour de lui.
Un lac rouge et au milieu le damné, la pluie venait diluer l'hémoglobine au sol.
Le rouge se diluait entre les pavés.

Il souriait, il entendait au loin, ou plûtôt dans sa tête un piano, une vieille mélodie, si il en avait eu la force il aurait chanter à tue tête.

L'eau ruicelait sur son visage, faisant couler tout son maquillage.
Le visage naturel qu'il avait toujours arboré était à nue.
Il souriait toujours et toujours, fixant le ciel...

Il chuta sur le dos, fixant désormais le ciel sans effort.
Il baignait dans on propre sang.
Il ne se rendait pas compte qu'il allait sans grand effort mourrir.
Ou du moins cette pensée l'effleura et de loin.

*J'ai vu pire... C'est pas maintenant, pas aujourd'hui, pas elle qui va décider de ma fin...*

Il restiat imobile allongé fermant les yeux pour soupirer de douleur.
La pluie faible arrivait à couvrir ses faibles gémissement.
Ses doigts étaient couvert de sang, ainsi que les comissures de ses lèvres.
Il soupirait encore.
Le sang coulait mions abondament pourtant il était loin d'être mort.

-C'est dommage...pas encore ce soir.... que je reverrais mon amante....

Il articulait avec difficultée mais il parlait.
Presque blasé dans le ton.
Il restait allongé par terre, la pluie redoublait d'intensitée, mais il s'en foutait aussi.
Ce soir il n'avait pas été satisfait et dès qu'il en serait de nouveau capable il réclamerait sa réponse.
Mais pour cette nuit il se laisserait doucement enivrer par les effluve que la mort déposera en lui annoncant sa vie et son lendemain moins glorieux que jamais.

*** Après la sortie des trois hommes, l'ordre simple lancé par Hypnovell et le passage à l'acte des vigiles, Hyi Hyil perd de vue celui qu'il ne pensait pas trouver dans ce quartier et encore moins ici même...

Les cinq vigiles initiaux, renforcés de l'arrivée des deux derniers molosses, entourent le CyberMage qui n'a toujours pas bougé. En un mouvement parfaitement accordé, ils avancent d'un pas. ***

"Allez mon gaillard, dégage de là, le Boss a parlé ! Si tu ne bouges pas, nous allons dev..."

*** Il est arrêté dans sa phrase alors qu'il s'avançait, un pas de plus que ses collègues, un pas de trop. Il baisse les yeux, des yeux hagards qui ne savent pas cacher la surprise et la douleur provoquées par l'horrible blessure ouverte sur son torse.

Il relève les yeux, horrifié vers son bourreau aux gestes si précis et si rapides avant de s'écrouler dans une mare de son propre sang. Il tombe aux pieds de la cible du regard des six gardes survivants, Hyi Hyil. Dans la main de celui-ci, toutes lames dehors, le coeur du malheureux repose dans la paume. ***

"Tu... tu vas crever démon !!!"

*** Le cri vient de l'un des gardes, rapidement reprit par les autres. Ils lèvent leur matraque, prêt à défendre leur vie misérable.

Tranquillement, le CyberMage mord à pleines dents dans le coeur encore palpitant de sa dernière victime avant de les foudroyer littéralement du regard. ***

"Pauvres sots ! Vous ne comprenez donc pas !?"

*** Il jette les restes sanglants de son festin au visage du premier agresseur, l'aveuglant temporairement avant de se jeter sur un second. Il dévie la matraque du bras et le frappe du poing en plein sternum. Ses scalpels des phalanges brisent ses protections, déchirent les chairs et pulvérisent les os. D'un mouvement ascendant, il ouvre le torse et la gorge du malheureux, le tuant instantanément tout en repoussant un autre garde de sa main libre. ***

"Et de deux !"

*** Hyi Hyil semble jubiler dans ce combat. Il a face à lui 3 hommes, dont celui maculé de sang, et se réjouit de les affronter.

Un autre larron le frappe alors derrière le crâne d'un coup violent qui fait trébucher le CyberMage mais celui-ci n'est guère sonné alors que la matraque semble déformée par l'impact. Brutalement, il se retourne vers l'homme surpris d'avoir échoué dans sa tentative. Son sourire carnassier est effrayant lorsqu'il incante un mot de pouvoir qu'il affectionne. Aussitot, le malheureux est vidé de toutes forces, aspirées inexorablement par le Nécromant Cybernétisé. ***

"Et de trois ! Et quatre !"

*** Le cri précède de très peu le geste. Tendant le bras gauche en arrière, il intercepte sans même le regarder le garde qui tentait de l'attaquer. Son index et son majeur tendus se plantent profondément dans les orbites de l'homme qui reste dressé un instant avant de s'écrouler à son tour, hurlant après ses yeux perdus.

Il ne reste que trois gardes qui s'entre-regardent un instant... ***

"Allez mes mignons, approchez... Venez rencontrer... votre mort !"

*** Le CyberMage éclate d'un rire dément, digne d'un psychotique... ***

[HRP :] Ceux qui font gaffe auront remarqué que le corps de la fillette a "disparu". [/HRP]

Attirée par le sang qui avit subitement libéré ses duces ragrances métalisées, la Cétra étéiat revenu sur ses pas.
Enfin pas exactement.
Elle a vait quitté les hauts quartiers par la porte sud, et n'avait aucune sorte d'envie d'y repasser.
Elle fit donc le tour des haut jusqu'à la porte nord, évitant soigneusement le lieu où elle avait laissé Hypnovell et son épée batârde quelle essaierait de récupérer plus tard.

Après cela elle se dirgea jusqu'à la scene de massacre, se laissant guider par l'odeur douce-amer du sang des gardes.
Elle arriva alors aux abords du lieu où Hyi Hyil se battait..ou plutôt du lieu où il executait ces pauvres hommes.

Amusée du sectacle elle alla tanquilement s'asseoir, à la faveur d'une ombre grandissante dans ce début de nuit, contre le mur d'un quelconque bâtiment.

Elle se réjoussait autant de la mort des gardes, qui en soi n'était pas très importante, que du flot de sang qui s'écoulait et du style de combat de Hyi Hyil.

Il ne restait que trois gardes présents et encore en vie.
Un exploi en soit vu la combativté de leur adversaire et sa facilité à donner la mort.
Qui sait elle n'avait peut être pas cmpleement foiré sa nuit...Pour la journée c'était mort mais bon, on ne peut pas tout avoir...

Alors maintenant elle profitait simplement de ce que Hyi Hyil faisait, ne s'occupant pas le moins du monde du mourant de la porte sud.

*** Indifférent à la présence de la Cétra, Hyi Hyil fait face aux trois survivants du premier assaut. Il a toujours aimé se donner en spectacle et l'occasion de montrer quelques uns de ses talents est trop belle pour ne pas être saisie.

Il penche la tête sur le coté, admirant ses proies. Sa langue apparaît entre ses dents de requins et passe rapidement sur ses lèvres ensanglantées.

Il attaque.

Sans prévenir, il bondit sur l'homme du centre du trio. D'un coup d'épaule, il l'envoie dans les airs. Du même mouvement, il se tourne vers le voisin de gauche et attrape sa tête à deux mains. ***

"Et de cinq."

*** Il est à peine essoufflé.

Il regarde l'homme dans les yeux, un court instant. Celui-ci lui rend son regard, cherchant désespérément un peu d'humanité dans le regard brûlant des cyberoptiques. Il sait qu'il est déjà mort, que sa vie est déjà condamnée. Il le voit dans le sourire de cet homme qui lui maintient la tête tel un étau titanesque. Il ne comprend pas comment tout cela a pu lui arriver, à lui. ***

"Six..."

*** Le ton est calme, posé. Pourtant, le sixième garde est encore vivant. Tout comme le cinquième, peut-être... qui n'a toujours pas touché le sol.

Le dernier garde, celui qui a pris le coeur en plein visage, tourne la tête vers le CyberMage. Il cligne lentement des yeux. Comment cette créature si imposante a-t'elle pu se déplacer si vite... ? Il ouvre la bouche, prêt à lancer un appel, un cri, quelque chose...

Hyi Hyil tourne son regard vers lui, tenant toujours la tête du garde entre ses mains. Le temps semble suspendu...

Apparemment sans effort, il arrache subitement la tête qu'il tenait et porte un coup formidable au dernier garde. ***

"Sept..."

*** C'est à ce moment-là que le premier garde du trio redescend de son vol plané, cueilli en plein vol par le CyberMage qui l'attrape à la gorge d'une seule main.

Il approche son visage du cou du malheureux, découvrant sa monstrueuse dentition. Alors qu'il égorge sa victime d'une puissante morsure, le corps décapité s'écroule au sol et le second, au visage enfoncé bascule en arrière.

La scène n'a pas duré plus de deux secondes et a été presque silencieuse. Savourant le précieux liquide directement prélevé à la source, Hyi Hyil en profite pour sonder la zone alentours...

S'il ne s'est pas trompé, la suite de son histoire se déroulera dans le batiment qui lui fait face. Mais ses sens et son instinct attirent son attention sur un détail à la limite de ses perceptions... Il essaie d'en savoir plus. Il lance une sonde mentale dans la direction que lui souffle son intuition.

Là !

Il a trouvé !

Un homme meurt...

Le Cyborg laisse tomber le corps sans vie et prend la direction de cet homme mourrant, intrigué. En quoi la mort de cet inconnu le concerne-t'il ? Il reviendra plus tard visiter l'immeuble s'il le faut, pour le moment, son intuition le guide... Elle qui ne s'est jamais trompée et lui a permis de sauver sa carcasse à plus d'une occasion. ***

"Quelle mort peut bien m'attirer ainsi ? Ce n'est pas celle d'un homme du commun, ça c'est sûr..."

*** Jetant un bref regard en direction de la Cétra, il lui adresse un sourire sanglant avant de s'éloigner en direction du Sud. ***

Désespérant et finalement gachée...
Voila ce qui résumait sa journée et maitenant sa nuit.
Le combat s'était déroulé trop vie à son goût elle n'en avait pas pu profiter entièrement...
Mais qu'importe au fait?
Rien assurément, ça sera pour un autre jour...surrement, espérons le.

-Hey au fait si le coeur t'en dis, ramenne moi l'épée qu'il a en travers du corps ça m'arrangeit bien!

Elle avait lancé cette "demande" alors que Hyi Hyil partait en direction de celui qui gisait...peut être mort avec de la chance.
Un fois ce Cybermage parti elle se perdit quelques temps à la contemplation des cadavres restés sur le bitume.

Quelques minutes plus tard elle décida, une foi pour toute, de repartir dans les bas quartiers.
Elle nétoya d'un sort la rue, la rendant aussi nette qu'avant que les gardes ne soient...charcutés...
Tout ce sang juste par volonté, elle apprécait de pus en plus ce nouveau venu...

*** Les sens en alerte, Hyi Hyil traverse les Hauts Quartiers, droit sur l'image mentale d'une balise Argos en fonctionnement. Il entre dans la zone touchée par la pluie qui commence déjà à décroître.

Il parvient rapidement à proximité du corps d'Hypnovell et le reconnaît aisément. ***

"Ainsi, c'était toi !?"

*** Le ton exprime un dégoût profond et une grande déception. Sans grande conviction, il donne un coup de pied dans les jambes étendues du blessé. ***

"Tu as de la chance d'avoir face à toi l'un des plus grands chirurgiens que tu trouveras jamais. Et une plus grande chance encore que je fasse toujours confiance à mon intuition..."

*** Ecartant son imperméable, il découvre un espace de rangement logé dans sa cuisse. Il y prélève divers instruments avant de commencer l'intervention.

Après avoir extrait l'épée qu'il pose de coté, il entreprend de juguler l'hemorragie et de réparer les plaies du mieux qu'il peut. ***

"Je n'utilise pas d'anesthésique, tu ne m'en voudras pas j'espère ?"

*** A sa façon de le dire, il est évident que ce détail lui fait plaisir au plus haut point.

Après cette longue opération, il pose une bande sans aucun ménagement après avoir recousu la blessure. Puis, sans lui laisser le temps de protester, le CyberMage charge le blessé sur son épaule et reprend le chemin du batiment pour lequel il a commis un massacre un peu plus tot. ***

[HRP] désolé pour le retard, mais je n'ai toujours pas de PC à moi...

Il faut dire que sur le coup si le Cybermage avait eu l'honneur d'un blond plus que conscient, il aurait rapidement compris que de l'emmener avec lui comme une peluche n'était pas la meilleure idée qu'il ai put avoir, loin de la.

Quand la main du Cybermage passa pour le prendre et ensuite le poser sur ses épaules, cela avait eu l'effet d'une douche glacée.
Ses yeux se rouvrirent instinctivement, fixant birevement le sol devenun plus proche qu'a l'habitude.
De plus il sentait tres bien le physique de son porteur.

Une pensée le traversait mais elle était lon d'être claire, et surtout mal placée pour sortir.
Si jamais il avait eu le souffle de le dire, certainement pas par manque de couilles puisque tout était bon à dire d'apres lui.

Quelques portes passèrent.

Il reprit enfin un peu plus de consistance.
Pas assez pour marcher, surtout qu'il lui serait déja difficile de sortir de cette "étreinte" alors inutile de se fatiguer.
De plus cela l'intriguait au plus haut point de se voir "kidnapper" pour retourner sur ses pas.

Un sourire arrivait en force pour ensuite s'ouvrir et laisser un rire cinique percer l'heure.

-Tu me veux quoi?

La voix n'était ni lourde ni même provocatrice, juste pincée d'inquisition flagrante.
Il enchaîna:

-T'as l'intention de faire quoi en me balladant ici couillon?

*** Sans ralentir son pas, Hyi Hyil tourne simplement son regard vers le blondinet... ***

"Tu ne m'intéresses pas plus que ça, pauvre taré. Mais j'ai bien l'intention de t'utiliser comme sésame... Bien que je ne comprenne pas encore pourquoi j'ai tant besoin de toi..."

*** L'immeuble pour lequel il fait autant d'efforts apparait à sa vue.

A sa surprise, les corps ont été enlevés et la rue est nettoyée. Et, comme il le craignait, d'autres gardes ont pris la place des vigiles déjà vaincus. Evidemment, le molosse qui a fui plus tôt est également de retour.

Rajustant la capuche sur son masque d'acier, le CyberMage s'avance avec bravade vers l'entrée du batiment. ***

"Laissez-moi passer !" *** Tonne-t'il ! *** "L'homme que je transporte est gravement blessé et je suppose que vous le reconnaissez... Ecartez-vous, cloportes !"

L'idée que le CybeMage avait eu faisait sourire le blond.
Certainement car il ne savait pas à quoi il s'exposait.
Le blond en sortait déja loin de l'euphorie, cela avait du attirer Hyi Hyil sur la voie.

Mais la raison de sa présence et de tout se branle bas de combats rien que pour un homme d'une trentaine d'années bien attaquées, tout cela avait de quoi mettre la puce à l'oreille.
Qui plus est que personne n'est sans savoir qui il était réelement.
Malgré son "camouflage" il restait le Dessosseur.
Que de joie en perspective quand l'un des plus grand taré des basses rue montait faire le petit timide.


Quand il voyait qu'il remontait sur cette batisse qu'il avait quittée peu de temps avant, quand il l'avait vu il ria un peu.
Un rire sombre et ironique.
QUand les gardes avancèrent apres les paroles du CyberMage, le rire ce fît encore plus angoissant.

-Si moi j'suis blessé vous, vous êtes mort si jamais vous avez les couilles de le laisser passer le pas de porte...

La voix devenue guturale et gravement morbide au fil,de la phrase laissait comprendre clairement qu'il était inutile de négocier un passage pour Hyi Hyil.
Les gardes commencèrent à s'attrouper autour des deux hommes.


Un murmure tarversent le coté garde:

"C'est bien le minot du boss?!"

"Ouais..."

La stupeur était totale, ils n'allaient pas attaquer le rejeton de leur patron tout de même?

-Bougez vous vos cul...!

"On...On peut...On peut pas!"

-Merci beaucoup...


La phrase resta en suspent jusqu'a ce que le blond arrive à se liberer de l'étreinte du CyberMage.
Le pied au sol il souriait démentiellement.


-Par quoi je commence mon cher hote?


Il s'adressait à son ex ravisseur et utilisateur avec superioritée et arrogance.
Le 1er garde le survivant de la tuerie précédente tomba le 1er, une ligne lègerement rouge naissait au fur et à mesure sous son cou.
Les autres sentait leurs doigts se dérober.
Ce qui n'était pas qu'une sensation au yeux d'Hypnovell.

-C'est le sort que je te reserve si tu entre sans mon accord sac à merde!

La voix purement et simplement autoritaire.
Mais si il le devait, il finirait déja de jouer avec ses hommes présent puis ensuite au gêneur principal.

*** Tel un chat en colère, le Cyborg laisse échapper un feulement de rage. Il fait un pas en avant et s'interpose entre les gardes embarassés et apeurés et le petit homme. ***

"Minute toi ! Aurais-tu oublié qui baignait dans son sang, il y a quelques minutes à peine ? Oserais-tu refuser de jouer ton role d'hotage soumis !? Comment peux-tu ainsi jouer les insouciants devant moi !?"

*** Le ton monte progressivement, reflétant la colère du CyberMage, frustré.
Brandissant le poing sous le nez d'Hypnovell, il fait surgir ses lames de phalanges à quelques millimètres de son visage. ***

"Fais-moi entrer, crevure et présentes-moi au Boss où je te renvoie dans le caniveau !" *** Grince-t'il entre ses dents serrées. *** "Dans ton état, comment pourrais-tu lutter contre l'alliance du meilleur matos cybernétique et de la magie la plus puissante de tout l'Empire Gestahl ?"

*** Il éclate alors d'un rire tonitruant... ***

-Et si c'est si génial que ca ta légion dm'erde pourquoi j'vois pas d'où ca vient...?

L'ironie pesait sur chacun de ses mots, et il ne manquait pas de le faire voir sur son visage qu'il lui importait peu la force physique.

-Et si j'étais mort t'étais pas dans la merde donc fermes la t'as besoin de moi et moi j'ai pas besoin de ta sale gueule, donc c'est toi qui me doit quelques chose...

Il souriat un instant en riant à l'éttoufer.
Son regard était vide et pourtant on pouvait sentir la provocation et de loin.

-Tu veux me rendre un service? Dégage morpion toi et ta came de merde!

Le ton devenait plus froid et moins patient c'était clairement par "politesse" qu'il ne s'excutait pas sur le champs.

*** La réponse d'Hypnovell a rapidement calmé l'hilarité passagère du CyberMage. Montrant les dents, il rétorque aussi calmement qu'il le peut, mais chacun de ses mots est chargé d'une colère sourde. ***

"Petit homme, le Multivers est vaste et sa population nombreuse... Ta misérable personne ne connaît peut-être pas mon monde, ça ne l'empêche pas d'exister par-delà la barrière inter-planaire. Et pour ce que j'en sais..." *** Il jette un coup d'oeil aux gardes présents, toujours indécis. *** "... j'ai l'impression que tu m'es autant utile mort que vif. Alors ne me tentes pas..."

*** Il garde le silence une seconde, semblant réfléchir, puis son rictus sauvage se change subitement en un sourire inquiétant. ***

"Mais, peut-être, as-tu toi-même assez d'influence ici pour m'intéresser ? J'ai l'impression que nous pourrions nous entendre... du moins, pour quelques temps..."

[HRP :] "le Multivers est vaste et sa population nombreuse..." n'est pas issu du néant mais de là.