L'arrivée d'un étranger

Le ciel devenait de plus en plus orange à mesure que j'avançais sur la route principale, dont le style peu orthodoxe rappellait les grandes cités.
Je suivais cette route depuis maintenant plusieurs heures déjà, aprés avoir bifurqué au carrefour précédent, à la sortie d'un bois.

On disait d'Erode, qu'elle était une cité "peu commune", en proie à une anarchie totale, où régnait un climat d'insécurité et dirigée par des "autres" dont je connaissais rien d'eux, mis à part leurs autoritées dictaturiale.

Qu'importe, j'avais tant voyagé, cotoyé la mort de prés ou l'apportant aux riches marchands un peu trop verreux.
Divers employeurs, divers motifs, missions et lieux, j'allais, de villes en villes, accomplissant ma mission et ramassant mon gagne-pain sans jamais laissé de traces.
J'étais recherché, biensûr, il fallait bien que ça arrive à un moment. Mais j'échappais toujours aux chasseurs de primes, la plupart bien trop faible.
C'est pour celà que ma prochaine destination était Erode.
Je n'y recherchais rien, juste un toit.
Ainsi, personne ne soupçonnerais "un gars intelligent" de venir à Erode, même si sa vie était en danger.

Les portes de la ville étaient ouvertes...pour le moment, la nuit tombée il aurait peut-être fallu m'identifier.
Un des gardes me jeta un regard froid du coin de son oeil, et dont je ne prétais attention... quoique, je pouvais y lire dans ses pensée...

(Garde) *Peuh, une saleté d'Elfe, qu'il se fasse tuer, ça ne me dérangerais pas.*

Je m'arrêter un instant, puis reprenais ma route en direction d'une taverne ou d'un lieu où l'on pouvait boire tranquille.
Aprés avoir mis à terre deux lourdeaux agressif, pillards peut-être, puis bifurqué dans une ruelle, une enseigne m'interpella.

"Pub..."

Bien, j'avais déjà trouvé mon premier objectif, c'était déjà ça.

La nuit avait alors fait sa fraîche apparition, le vent se levait également. Je fis alors mon entrée en ce lieu.
Le vent s'y engouffra alors quelques secondes avant que je ne referme la porte.

Ce bar était assez peuplé. Je détestait quand il y avait trop de monde.
Le brouahah se faisait alors moins danse et des têtes se tournaient vers moi, intriguées.
Je me dirigeais alors d'un pas calme et pesant vers une table libre. Mes yeux balayaient l'assemblée.
Au bout, quelques types étaient vautré sur le comptoir, un verre d'alcool à la main. D'autres discutaient. Certains étaient assis à des tables, jouant aux cartes ou discutant.
Je m'asseiyais alors sur une chaise en bois, taillée dans un style intriguant, et posais mon sac de toile, de moyenne densitée à côté de moi. Les lumiére orangée étaient à demi tamisée.

Une femme s'avança vers moi pour prendre ma commande.

(Serveuse) Vous voulez quelque chose ?

"Votre meilleure biére s'il vous plaît."

Dis-je d'un ton plat.

(Serveuse) Ok.

Je pouvais enfin me reposer, au moin une heure maximum... Enfin, s'il n'y avait pas trop d'ennuis.

*Maya! un nouveau!*
La jeune fille s'approcha du nouveau venu et commanda presque distraitement une hémoragie
*Alors quel genre de fou peut venir se perdre à Erode?*

Je me tenais assis bien droit en attendant ma commande. Mes deux coudes sur la tables, je réfléchissais.
Je réfléchissais à la maniére d'infiltrer cette ville, son systéme, me fondre dans la population...

(Homme du flashback) *Vous aurez une grande somme d'argent si vous accomplissez cette mission.... En échange, je ferais en sorte d'étouffer les soupçons que l'on porte sur vous, sur ce continent....*

Hum, celà n'avait rien de compliqué. Quoique, il ne fallait pas que je sous-estime la situation, où elle pourrait m'être fatale.
A ce moment, j'entendis une fille faire allusion à une personne... moi ?
Je me retournais discrétement vers elle. Mais c'était étrange... pourquoi n'arrivais-je pas à lire ses pensées ?

Elle vint alors à ma rencontre. Je n'avais toujours pas baissé ma capuche blanche.
Elle était jeune. Mais qu'est-ce qu'elle était ? On pouvait bien cotoyer toute sorte d'être, mais je n'avais jamais croisé une pareille personne, ce qui me mettait d'ailleur mal à l'aise.
J'abaissais alors mes bras sur la table, croisant ensuite les doigts de mes mains.

"Eh bien, un homme qui fait du tourisme."

Dis-je d'un ton froid. Evidement, quoi de plus normal. Un ton moqueur aurait pû être remarqué. Mais ce n'étais pas le moment de jouer. Je reprenais ensuite.

"Je plaisantais, en fait, c'est pour le boulot."

Bien, la phase 1 pouvait donc commencer.
La serveuse arriva alors avec mon verre, le posant devant moi.

"Merci."

Dis-je d'un ton plat et donnant quelques piéces pour la boisson.
Je sentis alors des pultions bizarres se rapprocher de la table. Un esprit torturé,fragmenté. Ca me donnait presque un début de mal de tête. Et pourtant, je n'étais pas novice dans cet art.

L'homme parlais sur un cynisme parfait, on ne savait pas si c'étais par provocations ou par moquerie.
Je regardais alors l'homme jouer sa comédie macabre un instant avant de boire une gorgée de mon verre. Ce n'était pas mauvais, enfin, je me contenterais de ça.
Puis je reprenais, n'adressant aucuns regard.

"Vous êtes guide ?"

Je ravalais alors de nouveau une gorgée. Pouvait-on vraiment faire confiance à cet homme ? Je reprenais alors à la suite.

"Merci, mais j'ai déjà quelque chose à faire."

*Et c'est qu'en plus il m'écoute pas la raclure! Voila un gentil jouet, qui va être bien docile avec son vénérable maître*
Il jouait encore, sauf que cette fois-ci la scene était devenue la table, parfois il vaut mieux tenir compte de certains propos même si ils sont décalés et sans logique...

Il jouait avec plaisir, déformant sa voix, et fixant le nouel arrivant, une sorte de haine dans le regard, pourtant il était fasciné, il était bien le 1er homme à ne pas vouloir lui balancer un objet quelconque au visage, ou simplement le démigrer...
Pourtant tant de fascination n'allait pas l'empêcher de rire...

*Ta bière est bonne? Tu veux en boire encore?*
Il shoota dans une bouteille adjacente, puis la reprit d'un geste admirablement vif tant il semblait ivre, et fît un geste tout aussi admirable dans la vulgaritée même.
Il tenait la bouteille par le goulot, puis de son autre main descendit son pantalon (qui soit dit en passant devait être trop large pour ses 43kg) puis étraignit son pénis pour pisser dans le recipient (je vous avait prévenue il est pas clair dans le pub, la bibine tourne à plein pot).
Une fois sa sinitre et répugnate besogne achevée il entrprit de descendre de son pieds destale pour rejoindre le nouveau.

*Avec les compliments de la maison*
Le ton ironiquement toisant, le genre de chose que seul un bourge friqué pouvait se permettre de dire avec tant de hauteur...

Alors comme ça mes maniéres ne plaisaient pas à ce type... rien à foutre.
J'étais ici pour accomplir ma mission, et si de vulgaires insectes tel que lui, voulaient me coller aux bottes, ceux-ci seraient dégagé rapidement et proprement.

Je n'avais que faire de pauvres types comme lui qu'on voit tout les jours dans un bar un verre à la main. De plus, d'aprés ce que je pouvais vaguement lire dans ses pensées, il se droguait.
Et c'est moi qu'il traitait de raclure ?

Je restais de marbre face à lui, le laissant déblatérer ce qu'il avait à dire, continuant de boire ma biére... jusqu'a ce que ses conneries aillent trop loin.
Mes deux poings sérrés sur la table et faisant preuve de mon légendaire sang-froid, je lui répondit froidement sur un ton moqueur. Mon honneur elfique venait d'être taché.

"Dis moi, tu m'à l'air d'être vraiment en piteux état pour parler et agir comme ça devant un étranger."

Le brouahah du pub baissa d'un demi-ton. Quelques uns regardaient la scéne, d'autres, habitués, vaquaient à leurs discussion et leurs occupations.

(gars du bar 1) *Hey, c'est qui ce type ?*
(gars du bar2) *'Sais pas, en tout cas il vaudrait mieu pour lui qu'il commence à s'imposer, sinan bonjour le cimetierre*

Je pris alors la peine de me lever, calmement et toujours avec sang froid, en me tenant à côter de ma chaise, face à l'homme qui était à quelques métres de moi.

"C'est quoi ton probléme au juste ?"

Lâchais-je sur un ton dénu de sentiment, aussi plat et froid qu'une enclume. Je sentais des pultions à la fois seraine et meurtiére se dégageant de cet homme.
J'étais prêt à toutes éventualitée, aussi bien une bonne réaction ou une mauvaise. Qu'importe, je pourrais ressentir sa pultion la plus forte au moment ou il m'attaquerait... S'il le faisait.

*Dans quel état je suis? Confusion mentale, troubles pshychique, ca se voit pas je pète le forme, juste depressif car je viens de gâcher ce qui se faisait de mieux pour un elfe...UNE ELFE ces jolies petite bête qui gambade dans la fôret et qui chante des petites chansons*

Il claqua la bouteille au sol dans un bruit de verre brisée, ce qui instaura un silence pesant et assez inquiétant

*Voyez comme il est tout gentil tout beau, et tu penses faire quoi? T'as besoind 'aider pour retrouver tes amis les lièvres?
Dégage d'ici t'as pas la gueule d'un gars suceptible de me connaître, ou du moins pas assez pour me juger, ni mes ates par la même, je te conseil de vite ramasser ta fiertée avant que je ne me fasse un plaisir de t'égorger*

Il n'était pas réelement armé, mais tout ce qui était suceptible d'infliger des dégats lui ferait l'affaire...
Son regard laissait comprendre son état d'esprit bien plus complex que celui d'un ivrogne de passage...

*Maya...c'est à celui qui mourra en premier ou celui qui aura la mort la moins glorieuse? Sans vouloir t'offencer...Sparda c'est ça? Ravale ta fierté, t'as consenti à perdre tout honneur, orgueil ou ce qui s'en rapprochait de près ou de loin en décidant de venir à Erode. Pour la suite faudra que tu les regagnes si jamais il t'en laisse le temps ce qu'il ne veut visiblement pas pour le moment...*
La jeune fille était à présent assise en tailleur sur le bar et regardait les deux hommes, comme le reste du bar d'ailleurs. Son ton pouvait faire penser à celui de quelqu'un qui cherche à étoufer une bagare qui risquait de dégénéré si l'on ne sentait pas la pointe d'ironie percer deriere chaque syllabe.

Ce qui était fait, était fait, je ne pouvais plus reculer.
Soit cet homme avait perdu la raison, soit il n'avait plus rien à perdre.
Le pauvre homme était perdu, une déchéance infinie, la répugnance de la race humaine. Les hommes étaient méprisant, à vouloir se prendre pour les plus fort, se permettre d'être au dessus des lois.

En insultant mon peuple, dont c'était irréversiblement le cas, il aurait désormais cent ans de haine, poursuivis à jamais pour ce crime qu'il venait de commettre.
Je lâchais alors un rire moqueur qui résonait dans le pub, avant de répondre.

"Tient, tu as deviné tout seul ? C'est fou comme la race humaine peut-être douée d'intuitions, même dans ces états."

Pourquoi un type comme lui me ferais peur ? J'en avais vu bien pire, et plutôt en bon état... pas comme certains.
Je le dévisageais quelques instants, le laissant parler. J'en venais même à prendre mon verre pour boire lentement la derniére gorgée avant de le reposer, m'arrêtant à quelques centimétre de la table en lui laissant le soupçon "que va-t-il faire ?" avant de le poser définitivement.

Je n'avais pas même prêté attention à ce qu'il avait dit, et j'en venais même à lui dire ce qui pourrait le faire rager.
Provocateur provoqué ?

"Tu disais ?"

Même la fille me paraissait insignifiante à mes yeux.

Pas un craquement des cervicales, pas même un geste pour me la péter, je bondissais alors d'un vif et ample mouvement avant même qu'il ne s'apprête lui-même à le faire, laissant toute la suprise de cette action, qui, à leurs yeux n'aurait jamais dû avoir lieu.
Dans ce mouvement, je décrochais alors mon arme de poing de ma main droite, pour lui effleurer volontairement la peau de sa joue, avant de le projeter d'un coup de pied, contre un mur proche ou des personne à proximité s'en reculaient.
Ne lui laissant pas le temps de soufller, je vins l'immobiliser de mon avant bras sur sa gorge et de mon arme plantée dans le mur, dont l'espace suffisement large se câlait sur son poignet.

"Tu sais pourquoi je ne vais pas te tuer ? Parce que tu n'en vaut pas la peine, tu es un moins que rien."

Je dégageais alors mon avant-bras et mon arme, lui entaillant une veine au passage, avant de me diriger à vers ma table, toujours face à l'ex adversaire, et de prendre mon sac, prêt à partir.

La taillade de la veine le fît sourire, et la surprise tout autant...
Tout le pub se retournait sur la semie bataille...

*Tu disais?*
Il reprit cette phrase sur le même ton, las et froid.
Le regard fixé sur la porte, et le sourire ancré sur son visage, un sourire sadique et malsain.

Les gens commencèrent à le regarder étrangement.
Il tenait dans sa main un fin cable, aussi fin qu'une corde de piano mais aussi résistant que l'acier.

*Tu pars déja?*

Les reflets du fil se propageait dans toute la pièce, mais n'y avait il qu'un seul fil?
Il lecha conscienseuemsent de son index le sang répandu, lui conférant une expression viscéralement écoeurante...

Certains connaissant cet homme savait à quoi s'attendre quand il frôalit cet état de démence, mais depuis peu il avait encore changer, en pire fallait il penser...

Client 1*Quelle merde, fini ta biere mon gars, ca va pas sentir bon ici*
Client 2*C'est à chaque fois la même chose...*
Client 3*...Nan pas s'soir faut croire, regarde le l'aut' c'bien la 1ere fois qu'il s'fait toucher...*

Un bruit assez imposant de chuchottement accompagnait la scene, les regard braqués sur les protagonistes.

*Le moins que rien a quelque chose à te dire*
D'une voix grave, presque effrayante, avec le jeu qu'il avait instauré pour deformer sa voix cela donnait un effet morbide.

Je fronçais les sourcils. C'était incroyable, la blessure infligée ne semblait guére le déranger plus, il semblait même adorer.
Quel type d'ennemis allais-je affronter cette fois-ci ?
Quelqu'un qui ne se soucier de ses blessures grave se surrestimer, et par la même occasion, était un homme mort. Sauf ce type, il semblait avoir acquis une certaine resistance mentale à la douleur. Par conséquant, il était dangereux.
Je devrais employer la maniére forte s'il m'y poussait.

Il me rendit alors la pareille, en imitant ma phrase provocatrice...

"...Hum..."

D'un ton sec, comme pour se moquer. Un sourire en coin se dessiner sur mes lévres.
Je tenais mon sac de ma main gauche et mon arme de celle de droite. Je la rangeait alors dans son étuit, situé un peu sous ma tunique, pour prendre une toute autre arme, rangée elle aussi, dans un large étuit en bandouliére, dans mon dos.
Ce qui semblait être la garde de l'arme, était munie d'une lame de chaques côtés. Les finitions de celles-ci était argentées et extrêmement affûtées. Aucun défaut comme prouvant qu'elles étaient abimée ne se percevait. Elle était vraiment propre à la culture Elfique.

"Je n'ai pas le temps de jouer gamin, et tu sais comme il est précieux."

Gamin lui allait vraiment bien. Il avait quoi ? La trentaine ? Bah, aucunes expériences en combat comparé à moi en un siécle. Quoiqu'il ne fallait pas le sous-estimer, il avait l'air menaçant et prés à en découdre.
Même les habitués avaient peur et semblaient redouter les instants à venir.
A ce propos je remarquais ce qu'il tenait en main, et je pouvais entendre dans sa tête qu'il m'attaquerait avec sa rage. Encore fallait-il qu'il me touche.

Je devais lui échapper, ce n'était ni le moment ni l'heure de donner lieu à un combat qui n'avait de raisons d'être.

"Ne t'inquiéte pas, nous aurons d'autres moments de nous croiser."

Je ne me défilais pas. Il n'en vallait pas la peine.
Je me mettais néanmoins en garde, dans un bien étrange style. Celui-ci était basé sur l'agilité et la rapidité. Mon regard n'allait pas sur la porte, puisque je savais d'avance qu'il s'en servirait, mais sur le comptoir.
Un sourire se laissait percevoir.

*Domage, que tu ne regarde pas la mort venir...
Ou alors c'est une habitude chez vous?*

Il tirait legerement sur le fil, comme pour le faire chanter, il tirait en effet sur un jeu bien étrange...
Que peu on eu l'occasion de revoir, pourtant tous dans le pub semblaient deja connaître le jeu...

Il se redressa tirant d'avantage le fil, enfoncant ce dernier dans la chaire de ses doigts, pourtant il souriait, il était presque d'humeur à chanter quelque chose...
Le regard tourné vers le plafond il semblait heureux car lui même ne semblait pas avoir pensé à ceci...

Les reflets étaient plus nombreux, pourtant...Il n'avait pas bouger, peut-être que personne n'avait réelement fait attention à ce détails (?)
En tout cas lui savait parfaitement où et comment commencer le jeu...
La lueure de son regard tirait plus vers la follie que vers le sadisme pourtant, il s'amusait tranquillement avec son fil...

Puis se trounant vers la Cétra restée la sans mots dire...
*Tu connais se jeu nan?*
Un sourire macabrmeent amusé, et sadique à présent...

*Maya oui j'm'en souviens assez de ton jeu. J'ose espérer qu'il n'est pas dirigé sur moi pour cette fois, j'ai rien fait sur ce coup*

Elle avait rendu son regard à Hypnovell sans bouger pour autant du dessus du bar où elle était assise.

*J'espere que c'est pas contre moi parceque cette fois j'ai envie d'assister au spectacle, pas d'en être acteur...*

"..."

Il était inutile de répondre, celà ne ferais que me détourner d'une action qui avait lieu en ce moment et dont ce type en était le seul maître.
Son allure ressemblait à celle d'un marionnetiste qui était en train de manipuler, au risque de se vider de son sang, son pantin. Seulement voilà, quelle était cette marionnette ?
En parcourant la scéne qui était sous mes yeux, de mon regard, je pouvais percevoir de maniére indistincte, les fils qu'il tirait.

En analysant cette situation, je pouvais constater qu'ils sentre-nouaient de façon complexe un peu partout. Les fenêtres du pub, semblaient à ma portée. Mais c'était trop facile, et il savait que je le savais.
Je devrais donc opérer en trois phase pour savoir quelles sont ses limites de déplacements, la portée que peuvent atteindre ses attaques et les points stratégique de ses fils.
Agir vite donc. J'avais une bouteille à proximité et trois verres derriére moi. La bouteille et les deux premiers verre étaient à une table non loin, vide. Le mien était sur ma table.

"Tu permet que je pose mes affaires ?"

N'attendant pas de réponse, je fis quelques pas en arriére, tirant la chaise qui avait été la plus éloigné de ma position, et y mettant le sac. Seul les bruits singuliers de mes actions tranchaient le lourd silence.
Les personnes autour de moi s'étaient écartées à ma venue.

Bien, j'étais maintenant, là où je l'avais prévu.
Je déposais au passage mon arme sur le bord de la table située à ma gauche, prés de moi. Puis, un pas sur le côté droit et je prenais dans un mouvement unique, une bouteille par le goulot sur la table voisine, avant de la projetter avec rapidité et force, terminant mon mouvement, à la droite de la tête de l'homme.

A peine projetée, de ma main gauche je saisissais un des couteaux sur mon plastron, et le lançais de la même maniére que la bouteille, en direction d'un point stratégique d'un fil.
A la fois pour le couper et le bloquer, celui-ci était destiné à se mettre au dessus de la cible.
Un vif pas sur le côté gauche, me permettait alors de reprendre à nouveau mon arme.

J'observerais alors le résultat.

Le fil coupé ne dérogea pas à sa logique, coupé ou tiré cela revenait presque au même puisque il glissa le long des poutres assurant la tenue de l'étage

Un sourire deja fort acquis devenait plus visible encore

Il lacha une paire de fils accrohés à sa main
*Une de moins, encore 9 autres*
En effet il tenait un couple de fils à chaque doigts, donc 10 couples, donant 20 fils.

Même si il était au centre du machiavellisme, il ne bougeait pas car les fils passaient et le cernaient, de part et d'autres du batiment, avec une seule paire il lui était encore possible de rendre le batiment en ruine...
La paire la plus dangereuse, probablement, passait de la poutre nord à la poutre sud, condamnant en effet les fenêtres adjacente à Sparda...
La 2eme paire était par contre moins compréhensible...
Elle s'allignait à la 1ere puis suivit d'autre couples, pour finir par se perdre dans le dédal de fils semis apparent....

Finalement il prit la peine de tirer un autre couple, celui fixé sur sa main droite à l'annulaire...
Celui-ci était presque sectionné la où les fils étaient noués, pourtant il continuait de sourire.
Le fil une fois tiré commencait à dangereusement se faire entendre, mais où?
Le 1er signe fut les tables proche de la sortie qui tombèrent de leurs pieds.

*Dommage un peu trop bas*
La voix sans sentiment, froide et amere

Il recommenca son jeu mais cette fois-ci en fixant son invité...
Il ne divulga aucun moment, ni même un mouvement pour laisser une échappatoire quelconque...
Le seul bruit venait du plafond en lui même, pourtant les poutres ne semblaient rien recevoir...

[hrp] Je précise que mes pensées sont en * et mes paroles en " [hrp]

J'avais été peu être un peu trop gentil avec l'adversaire en voulant lancer la bouteille juste à côté de sa tête, et qui n'avait absolument rien fait. Il n'avait pas même voulut bouger, ne serait-ce que pour éviter les bris de verres. Un masochyste ma parole.
Ensuite, je pouvais constater que je n'avais apparement pas lancé mon couteau au bon point stratégique, même si j'avais réussi à le couper. Puisque celà avait eu pour réponse, qu'une simple phrase mystérieuse de la part du type.

*Encore neuf... Neuf quoi ?*

Effectivement, celà posait un lapin. Je récapitulais alors de façon bréve.
Premiérement, la manipulation de son ou ses fils ne lui permettait d'accéder qu'à de petits déplacement, voir même aucuns. Deuxiémement, la portée de ses attaques étaient quasi-infinie, vu l'état dans lequel se trouvaient les tables. Et troisiémement, pendant mon attaque, j'eus le temps de me retourner pour voir sommairement des filins sur la longueur du mur où se situer les fenêtres. Surtout au plafond, qui d'aprés le bruit, menaçait de s'écrouler.

C'est alors qu'en posant mes yeux sur ses mains, je vis des fils au bout de ses doigts. Il y avait effectivement des binômes de fils à chacuns de ses doigts. Et il les tiraient surement de son corps. J'en avait entendu parler, de ces cas-là, mais c'était bien la premiére fois que j'en voyais un en action.
Un faible rire sarcastique se fit alors entendre.

"Tu es donc un marionnetiste. Bien, un adversaire digne."

Certe, il vallait mieux que la miteuse racaille où la vermine chasseur de prime, mais il n'en resté pas moin le plus inhumain et le plus sadique.
Maintenant que j'avais compris son systéme, il faudrait adapter ma stratégie comme tel. Et plus de gentillesse.

Je basculais alors mon arme de ma main droite à ma main gauche. Puis dans de vifs mouvement, je pris ensuite la bouteille, remplie de l'affreuse besogne du type qui était toujours sur ma table, et sautais en effectuant un tour complet sur moi même, sur la table voisine.
Là, avec la force centrifuge et ma vitesse, je lançais violement la bouteille, qui était cette fois-ci, dirigée sur la poitrine du type et du même coup, donnais un coup de pied dans un verre proche qui avait pour but d'être dirigé sur sa main droite.

A ce moment, il fallait que je bouge avant même qu'il ne contre attaque.
Je me retournais alors pour tirer un couteau du plastron, avant de le lancer sur un croisement, qui semblait important, situé en hauteur prés des fenêtres.
Je lisais toujours dans ses pensées en faisant semblant de ne pas savoir ce qu'il allait faire pour ne pas éveiller les soupçons. Selon sa logique, ce croisement reliait le mur et les fenêtres par la même occasion, ainsi que le plafond.

Je me dirigeais alors sans prévenir vers lui en sautant en arriére, sur une table et à l'endroit ensuite, surune poutre proche, effectuant des accrobaties habile de maniére volontairement désordonnées afin de pouvoir atteindre et de couper de ma lame, les fils de sa main.

*Je reviendrais ensuite rapidement vers les tables.*

La bouuteille le percuta avec force, pourtant ilm resta sur place, les débris l'avaient quelques peu egratigné, surtout sur le torse et le cou, mais rien de tres grave.
Il resta debout, ainsi il en fît de même quand le verre le percutta à la main droite, sauf qu'a cet instant il lâcha une paire accidentellement mais il ne lacha pas son sourire pour autant...

Encore 8 la survie pour aucune....

Il regarda un peu surprit les voltige du téméraire.
Téméraire car il était bien l e 1er à osé continuer sans avoir de réele stratégie, aprés tout, à quoi lui aurait servit sa bouteille hormis le faire se déplacer ?

Le croisement qui précédement avait été visé, commencait à lâcher, pourtant il tenait toujours, et ca "il" le savait tres bien, tant qu'il tenait il n'y avait aucun probleme, si jamais il lâchiat par contre certaines choses deviendrait plus aléatoire, pour son adversaire...
Apres tout, certains fils n'étaient en rien impliqués dans le piège, et ne servaient que de leurre, pouvant devenir mortel si ils étaient sectionnés.

Il le regardait souriant, il avait stoppé tout mouvement à cet instant, le laissant dans un pseudo doute.
Le bruit s'interromppa soudainement, un craquement assez lourd se rpolongea puis plus rien, mais il ne venait plus du plafond, quelqueppart en dessous mais d'où, même lui ne le savait pas réelement, où si il le savait il ne voulait plus se risquer à le divulguer.

Il se contenta de rire lividement, tout comme son sourire inquiétant et carnacier.

Quand il vît que son adversaire commencait à s'épprocher il fît un pas osé en arrière, ce qui obligeait les fils à se resserer d'avantage sur ses doigts déja bien trop tenus par la pression des fils.
Derrière lui, une sorte de rideau de fils, il s'avanca mais n'allant pas jusque là... Pourquoi? Il n'y aurait pas de raisons tout de suite.

Voyant l'arrivée iminante sur lui (et ne sachant pas les pensées de Sparda surtout) il tira un énième paire, celle de son majuer gauche.
Déclanchant la chute d'une des poutres Est, à présent un lourd craquement se fît un nouveau entendre, plus menancant encore que le 1er mais celui-ci venait bel et bien du plafond, mais il semblait ne pas ovuloir s'arrêter là...

Je ne suis pas marionnetiste, ne confonnd pas, tu pourrais le regretter bien vite

Même si son assaillant semblait arriver vite (trop) sur lui, il prit tout de même le temps de le préciser, ce qui n'avait pas de sens vu qu'il finirait à ses yeux dans les mailles de son piège...

Bien, apparement, j'avais réussi à lui enlever un binome. C'était toujours ça.
Mais il restait toujours les autres paires, aussi inquiétantes les unes que les autres. Surtout celles des fenêtres qui tenait toujours. Bordel.
Une information clé à ce sujet, que je découvrais dans l'esprit de ce psychopate, était que certains binômes se verraient être des leurres. Et ça n'arrangeait pas les choses.

Le premiére piéce de mon attaque était placée, restait maintenant à trouver les autres éléments pour assembler la future piéce. J'avais déjà repéré un homme fumant un cigare prés du comptoir, et un verre rempli de whisky non loin.
Parfais.

Je m'approchais alors de mon adversaire. Seulement, le doute s'installait en moi aprés la chute d'une poutre et divers craquements venant du sol et du plafond. Allait-il s'écrouler ? Non, ça ne pouvez être ça, sauf s'il voulait se tuer et anihiler les habitués du pub... et le pub par la même occasion.
De plus, il paraissait carnassier au fur et à mesure que je m'approchais. Il préparait donc un piége.
Comment stopper ma course à présent ? Des tables, c'est pas celà qui manquait, mais ça ne me servirait à rien. Une chaise, oui, il me fallait plutôt une chaise.

*Maintenant !*

Je pris alors un appuis direct sur ma jambe gauche, alors que mon pied droit venait taper avec force le dessous de la chaise. Je lui donnait alors un effet de hauteur, de façon à ce qu'elle soit dirigée juste un peu au dessus de la tête de ce psychopate.
Je comptais surtout sur un effet de surprise totale.
Une intense et bréve douleur se fit alors ressentir dans ma jambe, et disparue quelques secondes aprés.

Je me dirigeais maintenant en vitesse vers le verre de whisky pour y imbiber mes deux couteaux restant, essayant d'être le plus vigilent possible et gardant un oeil sur l'ennemis. Il ne restait plus que le cigare...

Il comprit la manigance de son ennemi, il n'allait certainement pas le laisser faire....
Il laissa la chaise tomber la où elle devait tomber, sans s'en soucier, puisque elle frôlait de peu son rideau de fils.

Puis il lâcha une paire supplémentaire, celle-ci trancha la poutre donnant sur le comptoir et donc sur une masse de gens y compris sa cible...

La poutre vascilla un instant, puis tomba droit sur le comptoir...

*Tu n'allais pas jouer avec le feu tout de même?*

Le sourire était réelement sadique, et inquiétant, il jouait avec plaisirs avec les paires restantes...

Il abandonna une paire factices, donnant ainsi un eventuel avantage à son adversaire.
Permettant aisni au psycopathe de bouger plus aisément et donc d'esquiver en cas de problemes.

Il préparra une attaque car certes son sourire était évocateur et prévoyant.
Il tira la paire qui jouait sur les fenêtre, celle qui semblait tant gêner Sparda...

Le verre commenca à se briser en silence, pourtant pas de raison mais "lui" le savait, il savait pourquoi le verre se fissurait aisni...

Ce type n'avait vraiment aucune pitié. Il tuait les gens comme ça.

Je fis un long bond en arriére lorsque la poutre s'effondra sur le comptoir. Ma cible était éliminée, mais le cigare, tombé au sol se rapprocher d'une flaque qui semblait être de l'eau. Il ne fallait pas qu'il l'atteingne.
Un coup d'oeil derriére moi pour voir les fenêtres se fissurer, et les mouvement moins restraint qu'avais acquis mon adversaire.

Fronçant les sourcils, je plongeais en avant, bras droit tendu (qui tient la double lame), et plus précisement mon index et pouce, duquel je pu chopper le cigare à temps.
Ne baissant pas ma garde, je pu voir arriver une attaque soudaine venant du mur droit (il est sur le dos). Anticipant ceci, je fis une roulade sur le côté gauche de me relever d'un bond, suivi d'une roulade d'esquive en avant.

Ca sentais désormais trop le roussi pour pouvoir rester plus longtemps dans cet endroit.
J'enflammais sans plus attendre mes couteaux, jetant ensuite le cigare derriére moi. L'alcool, fort inflammable de son état, dont j'avais imbiber mes couteaux, attendaient d'être lancé sur la cible, également légérement imbiber d'un liquide, bien que peu inflammable.

Ma lame désormais plus libre de mouvement, je sautais alors sur une table, d'où je pris appuis pour m'élancer un peu en tirant le premier couteau vers le type.
Il tenterait surement une esquive, c'est alors que je le prendrais en revers.

Coup d'oeil rapide vers le plafond, d'où tomber de la poussiére et vers les fenêtres, avant de remarquer le ou les fils derriére le psychopate.

Il vît venir le couteau enflammé sur lui.
En étant un temps soit peu lucide il se serait déplacé un minimum pour ne pas prendre le couteau.
Pourtant il était clairement mazochiste pur sang et resta immobile voyant l'attaque devant lui.
Au contraire il esquissa un sourire de satisfaction à la vue de l'arme en flamme venant sur lui, le regard plus concentré sur l'arme que sur son adversaire.

L'arme se planta avec rapiditée et violence sur la partie haute de la poitirine d'Hypnovell, rien, pas un cri, pas un mouvement, ni même de grimace, comme si il n'avait rien reçu de plein fouet.
La lame avait pénétrée d'au moins 3 bon cm, le feu lui était assez faible et au contact de l'urine il perdît toute vivacité occasionnant que de faibls brûlures.
Le sang coulait paresseusement sur le torse du blond au regard de chasseur.
Instincivement braqué sur sa proie, occultant tout ce qui pourrait lui faire perdre sa concentration.
La douleur commencait à le parcourir...
La faiblesse arrivait peut-être, et ca il ne le savait que trop bien il falait agir avec ce qu'il savait.

Il recula d'un pas se collant contre les fils juste derrière lui.
Il avait comprit que Sparda les avaient découverts.
Les plus proche de son corps commencèrent à vibrer doucement.
Les fenêtres se fissuraient toutes sans exception, le plafond, lui, laissait un bourdonement sourd en guise d'avertissement au danger.

Sa peau recouverte de sa propre urine collait sa chemise tout contre sa peau, moulant les cicatrices de ses anciennes "mêlées", et lui donnant un air prêt à tout.
Le sang qui gouttait de ses plaies au cou, au visage et aux épaules teintaient légèrement la chemise en un rouge pâle.

Il ne lui restait plus à pésent que 7 paires.
Celles fixées sur ses index, celle au majeur gauche, celle à l'anulaire droit, celles encore fixées sur ses oricullaires, et celles encore rattachées aux pouces.
La plus dangereuse était toujours en place d'ailleurs elle jouait nettement sur la confiance de l'adversaire.
Cette derière par sa position bloquait les issues, et commencait déja à jouer sur la batisse.

Le verre se fissurait à cause de la presion qu'exercait le toit sur ces dernières.
preuve avant coureur de l'éffondrement du lieu, pourtant il avait vu que si il s'aventurait à trop prévoir son adversaire en profiterait.
Par quels moyens arrivait il à connaître d'avance ses action, ca Hypnovell ne le savait pas mais il savait qu'en agissant au dernier moment les choses seraient plus simple.
Dos aux fils il posa ses mains contre son corps, il cachait son jeu à son adversaire.

-IL va être temps de se dépêcher sinon l'un de nous ne verra pas la lune se soir...

A sa surprise il se trouvait déjà à bout de souffle, pourtant son corps ne semblait pas plus gêné que ca par la blessure qu'avait infligé Sparda.
Et à son grand malheur, ce dernier en possédait encore un tout aussi avide de sang que le précédent.

Les 1eres fenêtres cédèrent sous le poids du toit.
Les poutres en parties déja amochées ne soutenait plus grand choses.
Un fil commencait lui aussi à se tendre d'avantage pénétrant que tres legerement le comptoir juste derrière Sparda.

Un trés léger frisson me parcoura le dos lorsque je vis qu'il ne prit aucune peine à esquiver mon attaque.
Pourtant, mon expression faciale rester la même : Serein et vif d'esprit, malgré mes sourcils froncés, qui portait à croire à une concentration parfaite et un sang froid exeptionnel.

A ce moment, ou je vis la lame arriver sur mon adversaire, je remarqua qu'il baissa sa garde, se concentrant plus sur l'objet tranchant que sur mes prochaines actions.
Allons, bon, j'étais trop gentil et le laissait de nouveau se concentrer sur le combat. Une chance qu'il n'aurait pas deux fois...
C'est alors qu'un faible sourire apparu sur mes lévres, le premier que j'eus l'occasion de montrer depuis le réel commencement du combat.
En effet, la faille approchait, je le savais, il le savait.
Je le vis un trés court instant trembler sous le poid de la douleur qui se ferait constente au fur et à mesure de ses efforts. Bien qu'il se reprit vite, il allait passé à l'offensive, que j'attendais que trop bien.

Non, ce n'était pas un simple tremblement, mais bien de l'attaque qu'il préparait depuis un moment, celle de faire écrouler le plafond. Je savais qu'il faudrait bien que je me tire, mais ce n'était pas encore le bon moment.
Le bruit menaçant était donc là. Je n'en fis rien, n'y prêtant aucune attention, changeant au dernier moment ma trajectoire, en me dirigeant vers la chaise où était posé mon sac, ne le quittant pas des yeux, comme si je m'en foutais, comme si j'avais trop confiance en moi, et que cette confiance soit le fruit d'une chance inouïe qui serait à glacer le sang.

L'une de ses mains tenait toujours la paire des fenêtre et/ou du plafond, et je savais quelle main renfermait celle-ci.
Le plan d'attaque et d'extraction défila alors devant mes yeux, qui céssaient de se rapprocher de mon adversaire [ HRP: Je décris tellement que la scéne paraît au ralentis lol].
Je savais que l'attaque au corp à corp avec lui était à double tranchant, ses posées sur sont corp était u détail avant coureur de ce qu'il préparait, il croyait vraiment que j'avais pas remarquer ce qu'il me préparait ?

Rangeant d'une dextérité soudaine ma double lame dans son étuit dorsal, et étant maintenant proche de mon sac, je balançais celui-ci par la fenêtre proche dans le même élan faisant un rapide demi-tour sur moi-même.

Je ne dis mot à sa phrase et la terminait même quelques secondes aprés, sans savoir si la surprise le gagnait, ni même si la fatigue de ses muscles endoloris le parcourait, par le jet de mon ultime couteau, celui qui viendrait se planter dans son épaule droite.

"_Navré cher amis, je dois prendre congé."

Dis-je tout en courant vers la fenêtre, brisée par le sac, tel un athléte adepte du saut en hauteur. Je ne partirais peut-être pas sans blessures........

Le couteau sifflait que trop bien dans l'air devenu lourd.
Le 1er couteau s'enfoncait encore dans sa poitrine, a chaque respiration.
La tétanie le gagnait contre sa volonté, et pour celle de sa cible.

Il avanca démigrant totalement ses doigts ligaturé.
Il abandonna toutes les paires encire attachées.
En lachant la derniere, celle que Sparda chérissait tant, elle lâcha toute sa force sur la batisse.
La partie donnant sur les fenêtres tombèrent soudainement dans un vacarme plus qu'ahurissant.

Les gens reculèrent rapidement dans le bruit.
Le coutea vînt se ficher dans l'épaule droite d'Hypnovell comme l'avait prévu Sparda.
Dans le bruit de gravas un hurlement discordant et proche de l'inhumain perca au dessus du brouahaha...
Dans la suite le batiment tomba raidement dans la rue ne ratant pas au passage Sparda qui venait d'y passer.

La prtie où se trouvait Hypnovell tenait encore, cell où se trouvait Sparda se trouvait à présent en ruine dan la rue.
Il avait parfaitement tout calculé, il avait prit en compte les facteur physique et physionomique du pub, les facteurs humain, et aussi le facteur chance.
Tout était prévu pour que seul lui reste, ensevelissant son adversaire sous les ruines du pub.
Le fait que Sparda veuille sortir par les fenêtre ne l'avait même pas étonné, pourtant le fait qu'il abuse de son instinct mazochiste le surpris.

Les gens restèrent interlocqués devant le bordel orchestré.
Seul un homme restait debout, les yeux grand ecarquillés devant lui.
Un couteau en pleine poitrine et un autre dans l'épaule.
La douleur le parcourait.
Son souffle était sifflant et court.

-Connard sort de la j'sais que t'es pas mort!
Il hurlait à s'en faire cracher les sangs.
La voix tremblait elle aussi.
Il lui devenait impossible de marcher, limitte de bouger en définitif.
Un soupir plus court...
Il tomba à genoux accablé par la douleur, pourtant il ne disait rien, il laissait juste son visage le trahir.
Il n'avait même plus la force de s'empecher de souffrir, de prendre du plaisir à en souffrir.
Le sang coulait à présent à flot sur le sol.

Ses doigts étaient tous marqué par les fortes pressions des fils, l'index droit était surement le plus touché, c'était celui qui tenait la paire que redoutait Sparda.
Durant tout le combat il gardait la même tenue et la même pression sur ce doigts quitte à le sectionné si jamais il le fallait.
Un abominable cri de douleur perca de nouveau mais dans le silence.
Il n'en pouvait plus il avait dépassé son seuil de douleur.
Le couteau s'enfoncait d'avantage malgré lui, li tremblait beaucoup trop à cause de la tétanie pour pouvoir l'enlever.

-Salaud!! Sors de la! T'as pas d'honneur t'as pas combattu à en crever!

Ses paroles étaient essouflée mais tellement acide et violente que le souffle ne s'entendati que très peu.

*Quel bordel tu peux foutre toi....Seigneur c'est fou...*
Les couteaux se retirèrent lentement, presque sadiquement des plaies sanglantes d'Hypnovell.

*Tu vas crever un jour à force de conneries...*
Les deux couteaux arrivèrent dans les mains de la Cétra toute souriante. Elle avait presque l'air heureuse qu'Hypnovell soit dans cet état.

*Et pis faudra remettre le bar en état...ça le fera moyen si il en manque la moitié...* Rolling Eyes

*Et puis à force de beugler comme ça tu vas finir par réveiller tout le monde...*
Qu'il soit agonisant, ou en pleine forme cela n'avait visiblement guère d'importance à ses yeux elle continuait de parler comme si de rien n'était, toujours assise sur le comptoire son verre d'hémoragie dans une main, les couteaux dans l'autre, s'amusant à jongler avec.
Deux flammes légeres vinrent lecher les plaies d'Hypnovell juste assez pour qu'elles se referment, mais pas assez pour qu'elles cicatrisent correctement, avec la chaleur d'un feu bien plus puissant que deux flameches.

*Offre la fin du spectacle vous aviez si bien commencé...*
Accompagné d'un sourire amusé, masquant le sérieux de la Cétra à se concentrer sur sa survie si il lui prenait l'envie de s'attaquer à elle. Que se soit pour ses paroles ou pour ce qu'elle avait fait.

Il s'agissait en rien de la 1ere preuve d'ironie dont la Cétra avait fait preuve à son égard.
Il destestait ce genre d'attention trop louable pour ne rien quémander d'autre.
Il se releva assez difficilement mais de toutes façon avec ou sans l'action d'Airin sur ss plaies il se serait tout de même relevé pour aller chercher sous les décombre pour trouver cette ordure.

Ce que d'ailleurs il fît dans le plus grand silence.
Aux dernières paroles de la Cétra il se retourna brièvement sur elle un regard calmement posé, ailleurs fixant plus le ciel qu'elle.
Et ce fut sans surprise aucune qu'il lanca d'un geste froid ses scalpels sur le comptoir pour toucher son verree d'hémorragie.

-T'es contente, maintenant tu ressens la sensation de manque que j'ai en devant vivre à tes crochets, moi c'est pas l'envie qui me manque de me sevrer de ta sale gueule...

Il était tellement froid autant dans le gestes que dans les paroles qui'l semblait encore avoir grandi dans son mental, mûri dans la folie.
Tellement distant, autant de la douleur qu'il restait, que de la présence d'une autre personne suceptible de le tuer si elle le voulait.
Que se soit Airin ou Sparda il avait de quoi s'occuper si il en avait l'envie.
Et ce n'était ps ce qu'il lui manquait.

*Espece d'enfoiré...*
L'air assez désapointée. Et ce fait plus à cause de son verre brisé que des paroles d'Hypnovell dont elle se fichait alors éperduement.
*Il t'avait rien fait mon verre que je sache!*

Elle se fichait aussi que, brisant le verre, le scalpel était allé transpercer sa main de part en part, des morceaux de verre s'y étaient aussi incrustés.
*Et de toute façon ce combat t'avais bien l'intention de le finir avant que j'te le dise et quoi que j'ai fait alors... Autant donner un bon spectacle avec des acteurs qui risquent pas de claquer au beau milieu de la représentation! Ce serait tellement dommage.*

Elle extirpa le scalpel de sa main et referma la plaie comme si ele n'avait jamais existé.
*J'le garde hein, j'vais faire collection à force de les récupérer...* Rolling Eyes