Histoires pour les morts

Je ne suis qu'une anomalie, par ton erreur je suis devenue une arme, j'ai tuée par ta faute.
J'étais pourtant destinée à éclairer la stupidité des hommes, les aider à vivre sans elle, cette louve nucléaire...
Par cette erreur, mes pères me craignent, ils m'utilise pour accroître leur renomées...
Cinq pères plus grand les uns que les autres, seul un m'aidera, les autres m'auront entraînés vers la déchéance...
Vous seuls savez de quoi je suis réelement capable, le peuple lui ne fait que se souvenir des morts que j'ai engendrées, sans conaître le véritable assassin...En accusant à tort
C'est à toi que je le dis car c'est toi qui m'a permis d'ouvrir mes ailes, je suis un fléau connu de mes pères, je porte ton nom...
Dans ma fin je t'emmenerais avec moi dans les ténèbres... Toi, cet homme qui est admiré...
Crèves en silence, meurs comme ceux que tu à tué...
Regardes moi ouvrir à nouveau mes ailes comme il y à 10 ans...
Regardes ces petits hommes s'enfuirent, loin de la mort, loin de moi...
Je suis ton oeuvre, je te ressemble, ne sommes nous pas les mêmes?
Esquisse ton geste de prière il est l'heure... je t'emmenes avec moi...



La file qu'a la flemme de réécrire, elle fait du copier/coller d'un texte qu'elle trimbale depuis watt-mille-ans, voila en voici un autre encore plus vieux....

Personne ne connais la peur,
Mais lorsqu'elle tombe.
On la ressent...
On a l'impression que tout est hors de portées
Alors là on connait la peur, comme un frisson,
Parcourant notre corps à grande pulsions.
Parfois, elle nous paralyse, nous détruit,
On ne peut plus rien dire jusqu'a mort sans suit.
Parfois elle nous hante,
Une fois rentré dans ce cycle de perversion
C'est a tue tête qu'on se drogue a base d'espoirs....
On se dit qu'on a du courage,
Qu' on arrivera à tourner la page.
On se dit qu'on tiendra, c'est sûr...
On ne s'en sors pas; Faudrait-il encore savoir coment remonter la pente...
Alors qu'on pensait avoir touché le fond,
Etre au bout du rouleau mais, NON!
Fallait-il encore qu'il en rajoute, juste pour moi,
Cadeau empoisonnée ou punition de Dieu?
C'est un suplice sans fin...
Alors on sent sort pas, d'autre rentre tout comme moi,
C'est sur, y'aura toujours mieux.
C'est sur y'aura toujours pire.
La peur est parano toujours derriere nous,
Perverti ou corrompu on cède d'un coup,
A tout bout de champs on fini par en crever
C'est pas une illusion, juste une observation, elle veut jouer...