Helldelance

Des jours si atypique, encore faudrait il que chaque jours soit différent...
Ici ce n'est plus le cas depuis longtemps.
Pourtant...

Il avance dans les rues bondées, mais cette fois-ci il est discret, la tête basse et un regard scruteur.
Du coin de l'oeil il observe les gens qui ne le lâchent pas du regard.
Il est vrai que de voir une personne essayant de se dissimuler en plein Hau Quartier à de quoi suciter quelques questions...
Il n'était pas réelement suspect mais sa façon d'essquiver les regards portant sur ses yeux étaient assez inquisiteur....
Sa capuche camouflait son visage en grande partie, mais on voyait clairement qu'il était blond.
C'était la seule chose d'instincte de son physique.

Plus loin dans la rue des Autres.
Ils rôdaient mais ils savent tres bien qu'il n'on pas grand chose à faire pour garder un minimum de calme.
Mais apparement les questions que le jeune homme sucitait attirèrent les "gardes"...
Le blond se noyait dans la foule tout en évitant ne serait-ce qu'un contact.
Un fantôme dans la masse humaine.
Mais les Autres savaient aussi comment attraper un "fantôme".
Un simple ordre de dispersion suffisait largement.
La rue se vidait instantanément.
Les gens d'en Haut n'avaient aucunes raisons de tergiverser sur les ordres donné.
Mais cet homme, lui, le fantôme de la rue n'était clairement pas aussi docile.

Les Autres arrivèrent à la hauteur du blond, ils le jaugeait.
Trop de hâte ou une curiositée soudaine, et ca c'était tres malvenu.
Ils cherhchaient le regard du blond.
Un regard qui ne fût qu'entre-appercu par un seul membre.
Sur 4 3 tombèrent en recrachant leurs sang.
Le 4eme avait eu la chance d'être un peu plus éloigné, en étant derirère ses feu comparses.

Le survivant sentait quelques chose de déja vu une sensation étrange.
Il venait d'avoir le déclic.

-Le Désosseur!!!!

Le sourire du blond s'accentuait, mais jamais le derner Autre ne revit ses yeux.
Il passa ses mains sous son habit.
De son abrit il sortit l'Hell de son arme brisée.
Il ne la portait pas fièrement sur son dos comme, à son habitude, pour deux raisons voir une troisième plus insidieuse:

1-Elle est comme le porte drapeau du blond à défauts de ses fils d'aciers, elle, elle pouvait être vue de loin et par tous
2-C'était une preuve qu'il avait trouvé égal adversaire pour la rendre aussi délabrée
3-C'était LA preuve à ses yeux que Sparda était un enculé de 1ere et suffisament chanceux pour survivre à tant de dévotions masochiste

L'hell de l'amre vint se loger dans la cage thoracique du dernier badaud.

Sans bruit sans plus de cérémonie il l'ôta du cadavre et ne passa pas plus de temps dans al rue.
Un simple silence mortel avant de s'engouffrer dans une ruelle.
Ses pas ainsi que le bruit du cliquetti d'acier s'éffacaient dans les chuchottement dans la rue.
Pour eux c'était la 1ere fois qu'ils voyaient Hypnovell.

Le jeune homme trouva ce qu'il cherchait.
Il pénétra dans une armurie.
Pas n'importe laquelle.
La plus renommée d'Erode.
Sur l'entrée on lisait dans le patois d'Erode "Schwein no Isu"
Un humour typique du lieu "La chaise du Cochon".

Dans cet endroit arme à feu, cela pouvait allé du vieux fusil de chasse à ce qui se faisait de moeux.
Insondable et froide ces armes attiraient sans cesse la curiositée d'Hypnovell.
Lui même en possedait un.
Pourtant ce n'était pas la raison de sa venue.
Le gérant regardait d'un drôle d'oeil le nouvel arrivant.

-Vous foutez quoi ...
-Fermes la ca m'arrangerait.

Le gérant n'en rajouta pas une quand le blond ôta sa veste.
Le déclic fût soudain, comme pour le dernier Autre.

-Vous voulez quoi?!

Le blond déposa contre le comptoir son Hallebarde, 2m05 d'arme dédié au carnage pur.

-Une Helldelance!
L'homme en restait la, il ne débloquait pas ses yeux de l'objet.

-Lache l'affaire tu la remet comme neuve et n'essaye pas de le baiser.

Le gérant ne posa même pas la question du "sinon quoi?" il savait à qui il avait à faire ce n'était donc pas utile de l'échauffer d'avantage.
Surtout quand il avait vu que l'Hell était ensanglantée.

-Attendez si j'le fais on va m'accuser de complicitée!
-Tagueule...

Le batiment se trouvait dans un angle de rue ombragée à cette heure de la journée, l'interieur de la piece était donc dans le noir.
Des Autres passaient par la et non sans raisons, ils savaient qu'Hypnovell était la.

-Tu la boucle j'ai pas l'intention de t'éclater, t'es le seul qui soit encore assez habile pour la refaire...

Le blond tourna la tête dans un geste assez rapide pour regarder dans la rue.
Sa voix était calme et posée pourtant...

-Les problèmes des autres sont plus simple à regler que ses propres problèmes...

-Bien...

Le blond enfila de nouveau sa veste pour sortir en discrétion.

-Je reviens ce soir elle devra être parfaite...

H'ypnovell n'attenda pas plus longtemps pour sortir et s'engouffrer dans de petites rues vide.

En complément du fantôme trainait une ombre dans les rues des hauts quartiers.
Elle aussi allait à l'armurerie, pas exactement pur les mêmes raisons, mais le résultat restait le même.

Elle entra silencieuseent dans la pièce sombre qui constituait la pièce principale de l'armurerie.

Elle s'avança vers le gérant. Lui donna une papier sur lequel était inscrit une liste.

-Tout ça pour ce soir ça devrait pas te poser trop de problèmes.Je t'ai déjà demandé pire...

En plus de la petite liste elle posa sa faux sur le comptoire et sortit la dernière épée atârde qui lui restait.

-Le traitement complet pour la lame et refais la jumelle de l'autre.

-Tu crois pas que t'en fait un peu trop? Après le taré qui me ramene son Helldelance et toi qui me demand ça, tu l'auras pas pour ce soir.

-La liste pour ce soir, le reste je peux attendre. Mais dépèche toi.

Elle avait un ton tellement calme qu'il était difficile de croire que c'était toujours la Cétra qui parlait.

Elle sortit une liasse de billets qu'elle osa avec la faux et a batârde sur le comptoire.

-Tu sais que je paie d'avance, et que je paie toujours. Tu me fais tout ça le plus rapidement j't'en remercie beaucoup.

Sans un mot de plus elle sortit de l'armurerie laissant le gérant seul avec sa commande et celle d'Hypnovell.

D'ailleurs en parlant de ça elle le repéra assez vite errant dans les rues désertes de la haute ville.
Elle était venue telle une ombre traversant les hautes rues, elle le cherchait lors telle qu'elle était venue.

Une ombre sur les toits, suivant le "désosseur", dans un silence qui aurait pu être pur s'il n'était d'Erode.
Elle arborait toujours un sourire simple. Unrapae suivant sa proie, c'était probablement l'image qu'elle renvoyait... si jamais quelqu'un l'avait vu.
Les rues étaient toujours désertes, pour cause l'ordre de dispersion.

Les rues étaint calmes, les Autres étaient...momentanément abscent.
Il ne restaient qu'eu seuls dans les rues.
Lui allant où bon lui semblait.
Elle le suivant discretement.

Biensûr, sur ses gardes comme il l'était, il ne mettrait pas longtemps à savoir qu'ele était là.
Pendant se temps elle se complaisait à ce qu'elle faisait: le suivre.

Etrangement il ne pleuvait pas, du moins pas encore.
Cela était plus étrange encore qu'il ne dise mot en sachant pertinement qu'Airin était derrière lui.
Mais pour une fois...

Non ce n'était pas pour une fois, ce n'était pas une exception non plus.
Il avait une idée en tête, laquelle?
Ca il fallait être dans sa tête.
Mis à part Sparda qui malgré tout éprouve des diffcultées à le cernées, et Airin qui maîtrisait parfaitement le sujet, personne n'était dedans.
Il souriait, un sourire machiavellique.

Dans la rue personne ne lui faisait face.
Pas un bruit, juste celui de ses propres pas et de son impatience.
Cette journée il allait la passer dans la Haute Erode.
Hors de questions d'abandonner son arme dans cette partie de la ville.
Il resterait tranquillement dans les ombres des batisse, attendant l'heure non dite de 23h.
Une heure calme où il étrangement il se rappel d'un froid et d'une ambiance propice à ses ballades nocturnes.

Il leva le visage au ciel...
Son sourir son fâna de lui même
Une impression lourde le parcourait.
C'était tout aussi étrange que le soleil brille aujourd'hui.
De sa grande veste noire cuire, le soleil se jouait, ses mèches blondes qui tombaient sur ses épaules et donnait une impression den floue.
La luminositée rendait son teint plus pâle, presque maladif, son oeil blanc se noyait dans le blancheur extrême.
Son autre oeil bleuté contrastait comme jamais.

Quand son sourire tomba, son visage était orienté droit sur le Cétra.
Elle pouvait clairement voir ce visage angéliquement macabre.
Une blancheur tellement aveuglante qu'elle paraîssait iréele, la situation parraîssait en elle même iréele.
Quand son regard croisa subreptiseement le visage d'Airin son sourire revint mais plus prononcé, accentuant l'effet blanc.
Ses piercnings jouaient eux aussi avec la lumière.

-Tu veux jouer?

Le ton était placide pourtant on pouvait croire entendre une pointe de sadisme.
Venant du personnage cela n'étonnait même pas.
Il n'avait que quelques paires de fils sur lui.
De quoi s'acquitter des Autres pouvant le gêner dans son attente.
Mais foutrement pas assez pour éloigner Airin.
Mais pourquoi l'éloigner quand une idée comme celle qu'il venait d'avoir l'incitait à la toucher?
Il avait cette idée depuis bien longtemps.
Bien avant la naissance supposée d'Airin.
Bien avant ses propres 17 ans.
Déja à 13 ans cette idée le parcourait.
C'était juste un simple reotur aux sources du sadique né qu'il était et qu'il est et restera sans doutes.

Ses mains étaient plaquées dans ses poches, colant la veste contre lui même.
Cela impliquait qu'il ne porte aucune arme sur lui.
Ne cherchait il pas simplement à montrer sa "vulnérabilitée"?
En tout cas il savait avec quoi jouer et surtout sur quoi insister pour l'enrager.
Il lui restait l'amer experience des Hauts Quartiers.
La cicatrice resterait elle, les souvenirs probablement partit d'ici quelques semaines.

Il s'engoufra dans une rue qui faisait encore un angle.
Se perdant il avait trouvé une echelle qui lui permettrait de rejoindre la jeune fille.
Il arriva à hauteur du toit où se trouvait la Cétra qui l'observait tranquillement.
Des habitudes comme celles qu'il avait prise avec elle ne se perdait pas.
Jamais il ne raterait une occasion de la tourner en ridicule.
Aujourd'hui ne semblait pas faire exception dans l'habitude, mais il semblait plus malsain encore...

Elle aussi se souvenait parfaitement de ce passage dans les hauts quartiers peu de temps avant.
Elle s'en souvenait et ne voulait surtout pas réitérer. C'avait déjà été assez humiliant pour elle.

Le soleil présent aujourd'hui jouait avec les reflets de ses cheveux.
Ses mèches blanches étaient torsadées à quelques unes noires et retenus en pointe par de petites lames courbes de 5cm au plus.
Le reste était laché et retombait souplement sur ses épaules. Des reflets entre le rouge et le bleux parsemaient le noir de ses cheveux.

-Un jeu? Pourquoi pas?

Sa voix était étrangement grave, presque rauque sur le moment.
Elle tenait toujours son sourire calme.
On aurait pu la croire réellement présene si ses yeux n'avaient pas été aussi ternes.
Il était difficile de faire la différence entre le vert et le noir.
Mais après tout ce détail n'était peut être dû qu'au soleil.
Si il était présent ici, il était rare d'en appercevoir la vraie luminosité dans les bas quartiers.

-Un jeu... Pose tes règles Hypnovell. Qu'est-ce que j'aurais à y perdre après tout?

Ses paroles n'étaient que murmures, et pourtant à cet instant ils n'étaient pas voulus.
Elle aurait bien aimé pouvoir parler normalement mais, simplement, sa voix, elle, ne semblait pas vouloir.


Outre l'abscence de réactivité de ses yeux, qui n'était déjà pas commune à la Cétra, elle semblait fatiguée. Ou dans un état second.
Elle avait abandonné ses barrièes mentales. A quoi bon?
Il avait déjà prouvé qu'elles étaient inutiles face à lui.

Un léger vent se leva, agréable, loin de la lourdeur et de la malsainité des vents des bas quartiers.
Le seul bruit à résonner à présent était l'entchquement léger des lames qu'elle avait dans ls cheveux.
Si lui était désarmé sans sa hallebarde elle l'était aussi. Elle n'avait pas pévu de le voir ici.
Et après tout il ne proposait qu'un jeu.
S'il jouait comme la dernière fois à la porte des hauts ce n'était presque pas la peine d'entamer une partie elle avait déjà perdu d'avance.

Mais bon après tout,un peu plus,un peu moins ça ne chngerait pas grand chose.
Elle avait déjà accepté le jeu ce n'était certainement pas maintenant qu'elle allait se rétracter et changer d'avis...

Comme il venait de monter sur le toit.
Il restait encore accroupit le temps de s'installer tranquillement sur le toit.
Il était certe agé de la trentaine mais il demeurait d'une souplesse sans égal.
Ses yeux venaient se perdre dans cet océan nacré noir.
Mais apres tout depuis quand avait il prit l'habitude de regarder les gens droit dans les yeux?

Depuis toujours il ne regardait jamais ses interlocuteurs, simplement pour ne pas dévoiler son regard, jamais il n'avait laissé quelqu'un se noyer dans son regard.
Il ne regardait jamais à qui il parlait, toujours distant même dans la parole.
Pourtant aujourd'hui il avait sans cesse chercher me regard de la Cétra.
Et ce n'était pas sans conséquence...

-Tu connais...

Il s'arrêta net quand il entendit un Autre, ou plutôt le "senti"...

Il retsait la fierement droit fixant les yeux de son interlocuteur.
Le bruit du cuir venait frapper et couper le silence, le bruit du choc sec contre son corps inerte.
Ses cheveux se balancaient dans le vent, un doux vent tiède.
Il devait bien fait dans les 25C° facilement, le vent lui venait accentuer l'effet tiède.
Le bruit métallique familier qu'Hypnovell traînait se faisait entendre...
Un bruit trop connu à ses oreilles...

-...

Sans surprise aucunes... Il savait tres bien qu'il ne pourrait certainement pas faire confiance à la haute.
Surtout pas à un vendeur comme ce cloporte.
Ce connard avait vendu sa présence, et son arme!
Ce connard avait profité de son absence pour vendre une arme qu'il chérissait peut-être plus que sa vie...

Un cri étouffé parvint à leurs oreilles, à celle de la Cétra ainsi qu'à celles d'Hypnovell...
Un sourire revenait sur les lèvres du blond.
Sans attendre il descendit par le toit plus bas qui donnait directement sur la rue.
Un saut et il atteignit le rebord il le lâcha pour atterir sur le trottoir qui donnait sur le cadavre du pauvres fou...

Sans surprise à nouveaux.
Il n'était pas seul en bas.
Au bout de la rue des Autres en masses, ce n'était pas tellement étonnant ils savaient que de traîner l'arme du Desosseur avec un seul homme était risqué.
7 Autres, rien que ca pour attendre et attirer le blond.
Ca n'avait pas rater.

4 fils c'était tout ce qu'il lui restait.
Assez pour des grouilleaux mais la ce n'était plus le bas de gamme.

-Vous vous sentez assez nombreux ca va aller?

Il était hors de lui, que l'on touche à sa fiertée cela passait encore mais ils avaient utilisé son arme pour l'attirer.
De plus elle était encore viable, en piteux état mais utilisable.
Il s'en saisit et la tira contre lui.
Les Autres reculèrent.

En simple courant d'air il lanca so hallebarde sur les autres qui esquivèrent sans probleme.
Cela n'était pas sans rappeler ce qu'Airin avait du combattre.

La suite simple.
Une marre de sang prennait la place des Autres littéralement évidés à distance...

-Je disais...

Un ton neutre et ironique à la fois.
Il regardait le sang qui coulait devant lui au bout de la rue.
Il alla chercher son arme.
Une fois entre ses mains il la posa délicatement sur le mur où il s'installa.

-La rumeure qui circulent...

Il relancait le jeu qui lui avait couté une belle frayeur.
Mais il connaissait les limitte à présent...

Elle s'était assise traquielment sur le rebord du toit et regardait simplemen ce qui se passait en bas.
Ses cheveux légèrement portés par le vent tiède de ette journée.
Elle avait toujours presque admiré la facilité avec laqelle il se déplaçait ou se battait.

Le brut e la hallebrd ellele connaissait
parfaitement.
Métalique, lourd et précis à la fois. ellement simple et compiqué.

Les hauts quatiers dans un sens étaient plus...vicieux que les bas.
Certes il y regnait une sécuité assez, voir très, élevée.
Cepedant tout vos faits et gestes étaient épiés.
Votre présence connue dès votre entrée si vous n'êtiez pas discets.
Et tout vos actes rapportés rapidement.

Il n'était donc pas surprenant que le gérant de l'armurerie se soit fait avoir aprés avoir rappoté la présence d'Hypnovell aux Autres.

Cependant ce simple fait ne la gênait pas outre mesure.
Elle ne spportait pas la présence de ses horeurs mais la tolérait quand ils étaient entrain de se faire gentiment charcuter ce qui était le cas pésenement.
Nan ce qui la genait elle arrivait pas bien à le cerner encore.

Elle savait que ça avait à voir avec le gérant.
Il ne pouvait plus rien le pauvre et ne la vendrait pas puisqu'elle payait et qu'elle n'avait pas de raison d'etre recherchée dans les hauts.
Alors qu'est-ce que c'était..?

Elle ne trouvait pas.

La liste qu'elle lui avait confié ne changeait rien il serait remplacé un jour ou l'autre de toute manière.
Elle n'aurait simplement pas ce q'elle voulait le soir même...
Tant pis,c'était pas la fin du monde...

En plus elle ne pouvait pas lui demader ce qu'elle avait oublié, il était mort, bel et bien mort...

Quoi qu'Hypnovell puisse dire à psréent elle n'écoutait pas.
Soudain elle releva la tête vers ce qui restait des Autres et du gérant.

Elle sauta à bas du toit et couru simlement vers l'armurerie encore miraculeusement debout.
Elle n'eut aucun regard vers Hypnovell, vers sa hallebarde ni vers rien d'ailleurs.
La chose qu'elle avait oublié c'était sa faux.
C'était tellement rare qu'elle la confie à qulqu'un pour traiter la lame et il fallait que ce soit ce putain de jour précisément.

Elle chercha dans toute l'armurerie.
La boutique, l'arrière boutique, le sous-sol où il réparait et entretenait les armes et la trouva finalement.
Si Hypnovell était attaché à sa hallebarde elle l'était à sa faux.

Elle la récupéra tranquilement, ainsi que sa batârde.
Elle remonta dans l'arrière boutique, prist ce dont elle avait besoin, revint dans la boutique et récupéra son argent.

Sans plus elle reparti ves endroitoù elle avait laissé Hypnovell. Remonta sur le toit sans un regard de plus.
Elle accorcha sa faux dans son dos et se rassis tranquilement.

-Donc. Tu disais?

Elle n'était même pas ironique. Ce qu'il avait pu dire lui était sorti de l'esprit.

A ce moment, on aurait pu croire qu'elle n'avait pas bougé.
Elle était revenu à la même place, rien n'avait changé dans son attitude.
Elle semblait simplement un peu plus fatiguée qu'avant de partir. Sinon rien.

Pour le moment elle attendait la réponse d'Hypnovell.
Revenant aux règles de son jeu, à l'objectif, et surtout à ce qu'était ce jeu.

Il l'avait suivi brievement des yeux.
Lui n'était pas fatigué, disons qu'une lassitude totale l'envahissait.
Finalement il n'avai plus envie de jouer à son jeu.
En apparence et réelement.
C'était ironique.
Si les Autres n'étaient pas arrivées Airin n'aurait pas senti envers quoi elle avait cette haine.
Hypnovell lui l'avait deviné.
C'était un peu trop clair à son goût.
La provoquer une fois de plus serait con.

Surtout qu'a présent il devrait faire des courbette pour obtenir gain de cause pour les réparations de son arme...

Que d'ironie, il était la en paix et se retrouve à tuer la seule pesonne encore capable en cette ville de lui refaire son arme.
Si Airin n'avait pas été la il se serait plus rapidement fait la malle.
Mais dans chacun en voyant l'autre avait perdu quelques chose.

-Laisse tomber c'est plus le moment...

En effet si jamais l'habileltée qu'il avait pour tuer les gens facisnait la Cétra, ce n'était pas le cas pour les Autres qui revenaient plus nombreux encores.
Le blond tira son arme vers lui et marche prudement vers le sombres des ruelles pour se fondre dans le décors..
Mais...

-Viens si tu veux..

Elle n'eut pour toute réponse qu'un sourire amusé, réellement, à la phrase d'Hypovell.

Il semlait avoir perdu de sa superbe.
Mais qu'importait?
Il restait Hypnovell, et le serait encore pour un bn moment.

Bon le principal problème maintenant restait l'atroupement d'Autres qui començaient à arriver de toutes parts...enfin presque.

Elle descendit stement du toit.
Enfin s'en laissa tomber pour suivre Hypnovell répondant à son invitation.

Que ce soit réellement en réponse à cette proposition ou simplement pour ne pas rester en présence de ces..."êtres", qu'elle execrait assez, elle s'enfonça dans le rues à la suite d'Hynovell.

Il était rare qu'il sembla si calme.
Mais bon après tout, ça ne changeait pas grand chose pour elle. N'est-ce pas?

C'éait étrange.
Elle était dans la patie de la vile où elle avait le plus à se méfier de ce qui l'entourait.
Elle suivait celui qui s'était nommé le desosseur et ce non sans raion.
Et elle était presque désarmée, quoiqu'il se passe si on la surprenait elle n'aurait pas le temps de réagir comme elle l'aurait fait autre part. Même si elle avait sa faux.
Son esprit était simplement embrumé, comme au ralenti...

Le resumé de la ballade était simple.
Se perdre.
Ou plutôt perdre les Autres de ses traces.
En théorie c'était d'une simplicitée évidente, mais il fallait corser la chose.
Même si une ofis ne lui avait pas suffit le probleme restait le même :
Qui allait refaire son arme fétiche?

Le nombre d'armurier compétent dans cette ville était ahurissant, mais le nombre capable de restaurer une telle arme était effroyablement maigre.
Seuls 3 hommes en était capable, enfin 2 hommes et un Haut Elfe.
Il ne restait à présent plus que deux personnes suceptible de le faire et encore...
Les finances à papa aidait le blond à subvenir à ses besoins y compris celui qu'il épouvait en ce moment.
De ce fait il devait forcement parmis les 2 restants, un qui était en contact avec ce cher connard paternel.

Biensur enmmener son arme pour être réparée c'était banale mais un telle arme qui sucitait beaucoup d'interrogations quant à sa provenance rendait les choses plus difficiles.
Pourtant il fallait bien faire quelque chose.
Il s'enfoncait dans les ruelles assez élcairées pour finir dans les rues deserte pour l'heure.
Cela n'empechaît pas les commercants de vivre.
Il passait rapidement en pleine rue pour s'enogufrer dans une armurie elfique.
Sachant qu'Airin était derrière lui, il savait qu'elle ne s'arrêterait pas pour si peu mais...

-Sois patiente ma jeune enfant...

Il avait susurer ces paroles aux vents, dans son mouvement pour entrer dans le magasin.

-Mr. Que puis-je pour vous?

Le vendeur était plutôt calme en voyant le blond totalement à découvert devant lui.
Il y avait peu de chance que ce dernier les connaisse ou le reconnaisse mais tout de même...

-Pour ceci...

Sa voix était neutre, comme si elle émanait d'un enregistremebt pré-maché.
Le blond passa sa main sur son arme et la posa contre l'étalage de petites dagues.

-Mr. Hypnovell je présume?

Le blond tourna le visage vers la porte vitrée.
Un sourire en coin marqué pourtant il ne disait mots.

L'elfe sortit de son derrière son comptoir pour venir éxaminer l'état de l'hallebarde.

-Vous avez trouvé quelque chose de fort interessant pour la mettre dans cet état...
-Ton constat je m'en contre fout, tu fais ce qu'il faut...

La voix cherchait juste à couper la conversation, ni plus ni moins, si jamais il en faisait trop il serait certainement enchaîner à un pilier.

-Pour quand je suppose... Ce soir n'est-ce pas?
-Le plus tôt possible ce soir 23h elle devra être prête...
-Si il n'y à que ca elle sera merveilleuseùent soignée...

Le blond n'en attendait pas plus, il aurait tres bien pus partir et laisser son arme la sans en dire d'avantage.
Il s'avait tres bien en entrant qu'il était tombé sur le seul armurier sous contrat de tout Erode.
Si il restait cela l'obligerait à pousser une guelante pour ne pas entendre les conneries qu'il aurait à déblatterer sur "comment prendre soin de son arme sans l'aide son pôpa chéri".

La porte claqua derrière lui laissant le commercant seul à son travail.
Le blond reoutrna dans l'ombre de la ruelle qu'il avait quitté precedement.
Il savait qu'elle pouvait aussi bine être partie que rester.
Tout découlait de la patience de la jeune Airin.

Elle était restée l'attendant tranquilement.
Adossée à un mur qui passait par là à ce moment, une jambe pliée le pied à plat contre ledit mur.
Le manche de la faux reposait contre sa cuisse. Elle avait la lamme près du visage passant une pierre à affuer dessus.
Tranquilment.

Elle n'avait pas eu de raison de partir alors elle était restée.
Les Autres étaient loins derrière eux, d'ici à ce qu'ils les retrouvent il se passerait assez de temps.
Ils auraient grandement le temps de ralier n'importe quelle partie d'Erode et de revenir.

Elle savait bien remarqué qu'il était revenu. Connaissnce qui ne s maifstat pas ostensiblement.
Elle gardai son sourire, ses yeux, désormais étrangement brillants ,toujours rivés à la lamme et à la pierre qui passait dessus faissant naître ce son qui la ravisait depuis son enfance surrement.

-J'espere pour toi que celui-là ne se vendra pas au plus offrant comme l'a fait l'autre, Hypnovell. Ce serait dommage qu'un autrre armurier rendre l'esprit aujour'hui.

Elle murmurait à peine. Cependant sa voix couvrait le bruit de la pierre.
Bruit qui s'arrêta lorsqu'elle releva son regard vers lui.

-Tu avais une idée d'où tu voulais aller en tête quand tu m'as proposé de te suivre?

La question se faisait naturelle.
Rien dans l'expression la Cétra ne pouvait refleter ce qu'elle pensait ou ressentait à ce moment précis.
A part peut être une fatigue, en arrière plan, discrète, sourde.

La 1ere phrase ne l'interpella même pas, comme si il restait dans son rêve.
Un rêve qui avait commencé en arrivant au monde et qui ne s'était jamais fini, même à ses nombreux reveils douloureux.
Ses yeux étaient dans le flou, mais il gardait une certaines clases sur lui, une idée de sadisme planait autour de lui il dégageait une sensation de peur et d'angoisse insondable.
Il avancait gardant la tête droite, les mains dans ses poches il continuait sa route dans la ruelle qu'il avait prise il y a peu.
Quitte à revenir sur ses pas, d'ailleurs c'était un peu son idée au départ.
Une idée tordue qu'il avait eu en voulant entraîner Airin la dedans.

Il leva la tête quand la deuxieme phrase parvint à ses oreilles.
Elle sonnait differement de la 1ere, elle avait quelque chose qui l'attirait.
Certainement car elle voulait savoir pourquoi tant de patience et surtout cette ballade en pleine Haute Erode.
Son regard se leva au ciel, ses yeux croisèrent le visage de la Cétra.
Finalement le soleil jouait en la faveur d'un nouveau visage.
Une larme coulait doucement elle arrachait une partie du maquillage noir dans sa descente, offrant un objet lacrymale noir qui dessinait une goutte sur ses joue blafarde dûe à la lumière.

Noir, noir comme l'idée qu'il avait en tête.
Un sourire forcé croisé avec celui d'un macabre personnage.
Cet instant lui donnait encore une class" insondable, comme le dégoût qu'il occasionait.
La scene était esthétique, pas magnifique ni même somptueuse, juste esthétique dans le temps.
Il baissa instinctivement la tête, pour oublier le soleil qui noyait son visage dans la lumière qu'il n'aimait plus en étant de la Basse Erode.
Ses mèches blondes décadentes tombaient sur son visage, coupant ses expression, comme si il n'avait rien à part ce blanc parfait.
Le temps ayant activé aussi son long processus de vieiliisement, sa base rbune était devenue plus longue, elle jouait avec les autres cheveux blond, ces derniers coupaient ses yeux bleu et nacré blanc pour accentuer l'idée qu'il traînait en tête.

Finalement il soupira, un soupir las.

-Tu veux savoir?...

Le ton était ironique mais en même temps il esperait piquer la curiositée d'Airin à son paroxysme.
Pour voir jusqu'où dans cet éla mazochiste il pouvait aller.
De sa souplesse encore intacte il utilisa le rebords des fenêtre pour se hisser sur les gouttières du batment d'en face, celui qui était dans le dos de la Cétra.
Il s'arrêta un instant pour la regarder de dos et attiser son idée devenue fxe.
Finalement il prit un petit élan pour rejoindre le toit au dessus de lui et ensuite par un jeu de funambulle, atteindre le toit sur lequel elle était.

Sa longue veste noir claquait dans le vent, ses cheveux noir et blond dansaient devant ses yeux profondement inquisiteur.
Il souriait, mais d'une étrange façon, il avait déja sourit ainsi, mais Airin elle ne l'avait jamais vu ce sourire, jamais elle n'avait encore eu l'occasion de l'approcher dans cet état.
Une utopie de plus que le blond avait en tête, oublier la différence entre elle et les autres filles qui la précéderait.

Elle le regarda jouer les acrobates sur les toits pour enfin se fixer.
Elle ancra un instant sonn regard au sien avant de le reporter sur sa faux.

-Si je veux savoir? Voyons voir...
Peut être qui sait? Pourquoi je t'aurais suivit et attendu dans ce cas Hypnovell dis moi.

Il jouait l'ironie, elle jouait le sarcasme.
Oui il avait piqué sa curiosité, au vif, comme à chaque fois d'ailleurs.
Mais bon personne n'est parfait, elle était curieuse qu'y pouvait-elle?
C'était pas le pire défaut du monde...

C'est fou comme la fatigue altere la patience. La fatigue c'était pas ce qui lui manquait réellement.
En ce moment c'est la patience qui faisait défaut.
Outre le fait que la brune décolorée blondasse qui lui faisait face lui souriait...ok c'était particulier comme souire, ça devait être pour une bonne raison qu'elle ne l'avait jamais vu mais bon...
Donc outre ce sourire il savait très bien qu'elle était d'une curiosité assez peu limité.
Le fait qu'il pose cette question était asez...dérangeant en soi.


-Use pas ta salive pour des questions aussi conne que ta précédente Hypnovell, acouche que je vois si je suis ou si je rentre gentiment chez moi me pieuter et dormir jusqu'à ce soir.

Elle préféra faire disparaitre la pierre et ratacher la faux à son dos.
Histoire de pas balancer ou l'une ou l'autre dans la tronche d'un taré qui serait sortit dans les hauts à ce moment.

-Ca t'emmerde à ce point cette histoire?

Il lisait bien que trop clairement sur le visage de la Cétra.
Il souriait, il reprennait ce visage, le visage de l'Hypnovell qu'elle avait toujours connue.
Certes il ne changeait pas réelement mais ses expressions revelait qu'il était d'une instabilitée sans bornes.
Il pouvait être tantôt patient et doux, aucunement fou, et l'instant d'apres pouvait suffir pour le voir dans votre dos, si jamais vous aviez encore assez de sang au niveau des yeux pour vous rendre compte que vôtre tête pivotait sur 360°

C'était d'ailleurs l'une des raisons à ses multiples surnoms, aucun ne correspondent à l'autre homme qu'il pouvait être en certaines circonstances.
En tout cas face à Airin c'était encore une des face du blond, une face morbidement avide de sang et d'autre chose.

Il pencha la tête de coté pour ne pas prendre le soleil en pleine face, il souriait toujours mais un peu moins juste pour ne pas trop montrer son âge bien attaquer par ses habitudes.

-Si tu dors tu ne sentirais rien , j'ai pas envie que tu reste passive, surtout que tu pourrais être drôle...

De son regard il la regardit en coin, il ne la regardait pas directement dans les yeux, juste du coin de l'oeil, pour éviter une prise de bec directe.
C'était aussi parmis les mimiques du personnage qu'il instaurait.
Une règle stricte de schyzophrénie, chaque personnes qu'il jouait devait avoir une personnalitée qui lui était propre.

Il avancait en fixant le sol, mais à présent en riant à tue tête.
C'était comique, il n'avait plus qu'une paire pour se défendre et elle, elle avait sa faux et ses batârdes.
C'était con en y repensant mais ca le faisait rire.
Elle pouvait savoir pourquoi il riait, mais pas comment il en était capable.
Rire nerveusement était une chose, rire de bon coeur une autre.
Lui riait de bon coeur en sachant qu'il était en position physique de faiblesse.
Il avait fais ses preuves mentalement il avait quoi qu'il arrive une porte de sortie garantie si jamais il perdait sa superioritée lors de l'acte.

Finalement il sortit sa main droite de sa poche une paire sur l'index.

-Ca te tente de savoir ce que j'ai en tête?

Il avancait toujours et laissait se balloter dans le vent la paire de fil qu'il tenait de l'index.
Elle se balladait.
Son but était de distraire Airin juste en parlant et en exhibant ce qui pourrait lui servir de liens...
Il approchait, elle laissait son regard se porter sur ses lèvres, c'était foutrement suffisan pour le moment.
Quand il fut assez pres il se colla contre Airin, sa paire venant aussi contre le mur où était la Cétra.
Il était habile et rapide le bougre, il était tout contre elle, l'empêchant de bouger et surtout l'ensserant dans les fils, qu'il tenait bien évidement.
Une fois statique il en profiterait pour chercher les batardes de la jeune fille qu'il avait contre lui, histoire de s'en servir comme assurance en cas de pépin.
En tout cas même si rien n'était encore joué il en profitait pour "jouer" avec elle.

Il posa sa tête au creu de son cou pour remonter sur son visage, sa langue suivant le mouvement et insitant sur les lèvres de la jeune fille.
Il recula sa tête et ne pouvait pas s'empecher de rire, un rire noir et macabre.

-Qu'elle est belle cette jeunesse... Une fois que tu sera entre mes jambes plus rien ne contra à tes yeux à part une chose... "Encore"

1: Elle le supportait au point de vouloir le tuer en temps normal.
2: Elle ne suportait pas les contacts physiques excepté combat évidement
3: C'était SES armes.
Pas qu'elle y soit particulièrement attachée comme à la prunelle de ses yeux mais tout juste.
4: Elle était forcément un peu cambrée à cause de la faux qui faisait pression dans son dos la raprochant encore un peu plus de lui.

-Prends pas tes rêves pour des réalités immonde batârd. Lache moi.

Ca sonnait exactement comme ça devait.
Un ordre froid et singlant.
Elle ne savait qui remercier pour avoir empeché sa voix de trembler.
Trembler de quoi? De peur? De rage? Un mélange de deux surrement.
En même temps c'était pas franchement le moment de penser à ça.

Inutile d'essayer de bouger ça ne servirait absolument à rien.
Premièrement il était contre elle, ça elle l'avait bien remarqué.
Ce qu'elle avait mis un court instant à remarquer deuxiemement c'était ses fils. Ses saloperies de fils.

Solutions d'échapatoires...très peu nombreuses pour ce qu'elle pouvait penser sur l'instant et vu son incapacité à bouger pour le moment.
Solution une: attendre un moment, faudrait bien qu'il bouge un peu nan?
Mais si il fallait qu'il bouge, fallait qu'elle respire, elle, au moins.
Sinon solution deux: s'en référer à sa chere et tendre magie et ainsi ameuter tous les Autres, "êtres" biensûr magico-recessifs, en faction qui trainaient dans les hauts quartiers...

Pas hyper inelligent mais ça pouvait être utile...
Surtout qu'une fois jarté elle pourait se téléporter gentiment et les Autres ne trouveraient que lui.
Encore faudrait-il qu'elle ai assez de puissance pour ça ce qui n'était pas joué d'avance.

Bon assez réfléchi, il fallait qu'ele en revienne un peu à son petit probleme.
Lui.
LE probleme.
Lui trop près et trop collant à son goût pour le coup.

-Lache moi connard. Et continue de rêver qu'un jour, hypothétique, je serais entre tes jambes à t'en redemander.

Elle avait simplement craché ces paroles d'une voix assez...glaciale pour le moins.
Elle n'espérait pas grand chose à lui donner des ordres mais qui sait...peut être une lueur au fond de l'abysse et des méandres de son esprit tortueux...
C'est pas bien d'espérer, mais pour le moment elle ne pouvait pas faire grand chose d'autre.

C'était inévitable, elle n'était pas la 1ere et loin d'être la derniere, il avait apprit à fonctionner, et certaines chose l'éxcitait plus qu'elles ne devaient l'arrêter.
Encore fallait-il qu'il soit assez lucide pour se stopper.
Ce qui était loin d'être acquis, surtout qu'il n'allait certainement pas laisser une telle proie partir sans avoir tiré un coup.
Biensur que oui, elle allait hurler ou essayer d'ameuter tout ce qui pouvait être aux fenêtre pour l'entendre jouïr, biensur que oui qu'il savait qu'elle ne se laisserait pas faire, mais ca il savait, c'était pathétiquement la même rangaine que pour toutes les autres avant elle.

De se voir aussi prometteusement supérieur à elle, cette garce, elle qui l'avait à plusieur reprise bien amocher.
Nan...c'était pas par vangeance qu'il faisait ca, non plus par haine juste pr désir sexuel.
Certes il n'y avait pas non plus que ce désir mais il aurait pu en faire abstraction si ELLE n'avait pas été la.
Mais elle et sa grande gueule devaient forcement le suivre, toujours se faire remarquer même si un jour ca la ferait crever.
Ce jour n'était plus si loin finalement, certes il n'allait la tuer physiquement mais mentalement elle serait certainemet morte.
Ou elle n'approcherait même plus l'ombre du blond sans crainte.

Il tira un coup sur les fils pour la retourner face au mur, ainsi il pourrait sans probleme la desarmer totalement.
L'habitude, et la dexteritée, il avait mainte et mainte fois repeté ce geste qu'il effectuait les yeux fermés.
Les dagues, les batârdes, et en dernier la faux.
Tout le bruit d'acier répendu au sol, il les écartaient bien loin d'elle pour ne pas qu'elle puisse les toucher.

Une fois nue de ses armes, il tira la Cétra e, arrière l'obligeant à rester sur le dos une fois au sol.
C'était incroyable de voir à quel point il souriait, il ne la regardait pas mais il rirait, un rire bon enfant et faux.
Mais ca il s'en foutait elle aussi probablement.
Elle était à terre.
Lui tenait les fils et un peu trop bien pour qu'elle ne souhaite pas un miracle.
Elle était sur le dos lui au dessus d'elle.
Il passa une jambe de chaque coté d'Airin, il il s'assit sur son bas ventre, le sourire noir aux lèvres.

-Ca te plaît pas alors?

Il connaissait la réponse, mais la question était tordante puisque tout le monde avait la même réponse.
Il serra un peu plus fort les fils pour l'obliger à ne plus bouger et ainsi mieux la devêtir.

-T'as de la chance il fait pas trop froid... Enfin c'est pas ca qui va te gêner au départ crois moi...

Il voyait venir une réponse acide sur le coup et ne voulait pas avoir à réitérer l'opération.
Il se laissa tomber sur elle et de sa main libre le tenait le visage pour l'embrasser mais loin de la tendresse amoureuse mais plutôt de la fougue violente et malsaine.
Si jamais elle voulait dire quoi que se soit, sa langue était captivée par celle du blond qui la chattoyait langoureusement.

Il lacha le visage d'Airin, et profita de ce "baiser" pour enlever les vêtements les plus accessibles à la main.

Pas ça, pas maintenant, pas encore et surtout pas lui...
Pas qu'un autre aurait foncierement été différent mais...pas lui quand même...

Pas grand chose ne lui venait à l'esprit.
Seul un mot transparassait, resortait plus que toute pensé cohéante: faiblesse.
Elle ne ressentait que ça.
Aussi bien mentalement que physiquement.

Elle ne pouvait pas bouger. Ce sentiment d'impuissance totale était de loin d'être l'un de ceux qu'elle préférait.
Si elle avait eu le temps, et surtout l'ironie recourue pour ça, elle aurait certainement sourit.
Pour sa stupidit qui deviendrait légendaire si elle réchappait de ce jour.
Mais merde elle connassait toutes les rumeurs et les légendes, pas forcément toutes infondées sur son compte, et pourtant elle l'avait suivit à demande.
Ce taré était le plus grand barge d'Erode, elle n'avait pas dormi depuis au moins trois jours et elle l'avait suivit...

En plus de le sentir lui...son odeur, son corps, ses mains, ses levres, sa langue... tout... des flash, des souvenirs qu'elle avait mis un temps fou à effacer de sa mémoire se rappelaient à elle plus violents les uns que les autres.
Seul quelques détails changeaient, il faisait nuit, c'était surrement pas le même homme et elle était beaucup plus jeune et sans arme, ses liens n'étaient surrement pas les fils d'Hypnovell alors.
Sinon le reste était d'une similitude ecoeurante.
Les mêmes façons, la même brutalité.
A croire qu'ils se concertaient et mettaient leurs métodes en commun pour être plus efficaces...

Elle entendait tout ce qu'il disait.
ç'aurait été être sourd que de ne pas entendre.
De plus elle ne pouvait absolument rien répondre puisqu'il était entrain de "l'embrasser" si on pouvait encore appeler ça comme ça.

Biensur elle vait déjà refoulé l'idée de ne pas se débattre.
C'aurait été encore plus fou de ne rien faire dutout.
Le seul roblème était que plus elle bougeait, plus ses liens se resséraient.
Tant et si bien qu'ils finirent par entailler la chaire de ses poignets
Et à peu près partout où passaient ces fils.

Au moent où elle sntit les effluvs de son sang, son propre sng, elle se détendit instantanment.
Elle ouvrit les yeux sans avoir eu conscience de les fermer.
Elle parvint même à sourire ontre cette bochequi s'affairait contre la sienne.
Elle en avait toujours conscience mais se contre-fichait des mains de cet homme qui avaient déjà commencé à la deshabiller.

Cette odeur qu'elle avait en adoration combla ses manques de sommeil la réveillant totalement.
A pire qui était-il? Hypnovell rien de plus rien de moins.
"La peur du nom accentue la peur de la chose." disai-on.
Pourquoi contiuer à faire en sorte que ce ne soit qu'un vulgaire viol de plus sur sa liste déjà assez longue?

Accentuant son sourire qui en devint presque maciavelique, si jamais quelqu'un eu put le voir, elle reprit l'initiative d'un baiser au départ forcé.
Le rendant non moins agressif mais plus voluptueux et violent encore qu'il ne l'était déjà.

Cela aurait été trop ridicule de s'arrêter en si bon chemin.
Elle était sous ses mains et commencait déja à en "redemander" certes il n'avait encore rien fait de répréhensible mais suffisament pour inquieter.
Mais la confiance qu'il l'avait en elle restait d'une limitte stricte.
Il n'allait pas la laisser libre, même si elle faisait preuve d'une bonne foi sans bornes.
Lui ne prennait aucun plaisir même si la volontée y était, il avait un arrière goûts de déja vu qui lui déplaisait.

Il arriva au moment où il déshabilla le bas, autant commencer lourd pour qu'elle s'affaisse.
Le pantalon en cuir n'était déja plus qu'un mauvais souvenir, il ne restait que le string cuir et dentelles noir.
Il ne porta pas son regard dessus, il se contentait simplement ne pas perdre le rythme qu'elle avait imposé.
Ses doigts se balladait rapidement et enelevait le corset qui tenait le sous vêtement de trop.
Sans difficultées, cela fait des années et depuis trop longtemps qu'il l'exerce ce geste.

Il restait au dessus d'elle mais se panchait pour l'aider à "mebrasser" c'était ) présent lui qui se forcait.
Mais il ne se plaignait pas.
Il femrait les yeux, un vieux film se déroulait dans sa tête mais ca il s'en foutait, de toute façon il n'allait certainement pas se mettre à penser à la pénétrant tout de même?
Finalement il lacha la baiser pour laisser sa langue traîner la où sa peau était à nue.

Le reflex il la posa sur son bas ventre, et en remontant il enleveait les boutons à l'aide de sa main libre.
Il rmeontait dieu seul sait où et la sensation de déja vu s'accentuait.
Ca commencait à devenir lourd, il senati qu'il avait déja fait ca, certes sur d'autres, mais sur elle aussi étra,gement c'était cette sensation qui l'étraignait.
Il voulait en avoir le coeur net.
Pour lui en voyant Aiirn elle était vierge, ca ne faisaiit aucune doute, il n'en avait aucun et finalement...

Il l'embrassa à nouveau pour ne pas l'entendre soupirer une fois qu'ils serraient ensemble.
Ce qui parraissait agréable pour certains ne l'était plus pour lui.
Le doute n'était plus.
Il s'était fait baiser jusqu'à la moelle et comme un Dieu.
Il pouvait certainement s'neofncer plus loin, mais là où il était... Il était déja malade rien que de penser à une suite.

-Putain...

A la limitte si il n'était pas habitué à ce il aurait pu prendre ca pour un orgasme.
C'en était loin, il venait d'avoir sa bande de 8 millimiètres qui venait de lui rafraîchir la mémoire.
Un rien sadique elle arrive au moment où il souhaite prendre son pied connasse va!
La gamine, à son arrivée dans la Basse Erode, il ne s'en souvenait plus, elle n'était qu'une gamine encore, juste la pour assouvir son besoin passager.
Elle devait avoir quoi 7 ans tout au plus, lui 21 ca changeait quoi au probleme?
Il l'avait déja violée une fois pourquoi pas deux?

Il restait mal devant elle mais pourtant il ne laissait rien paraître.
Juste un peu crispé, mais apres tout cela n'est il pas un peu naturel dans cette situation?
C'est sur que pour un violeur se retrouvé face à une victime concentante ca avait de quoi calmer mais lui n'était pas comme les autres, la il venait de nouveau de changer de face.
Toujours violeur mais la il voulait épargner le passer pour lui mais pas pour elle...

-Ca te rappel de bon souvenir ca hein?...

Il insistait sur chaque syllabes en resserrant les fils, et en narguant de sa langue son nombril à l'air.
Qu'elle ironie même si elle voulait échapper au violeur qu'il était, lui ne le tolererait pas loin de la....

Trop pâle, trop froid, parsemé de trop de ciatrices qu'elle trouvait trop visibles.
C'était peu de chose près ce qu'elle pensait du corps qu'il venait pratiqument de mettre à nu.
Elle avait façonné ce corps à l'image de son esprit, ou du moins avait essayé.
La seule chose qui ne la repoussait pas sur son corps était une cicatrice qui partait de son nombil pour remonter juste sous sa gorge.

C'était amusant ce voir à quoi il pensait.
N'importe quel télépathe un tant soi peu doué dans cette foutue ville aurait senti ses souvenirs.

-Bons souvenirs, c'est pas forcément le mot que j'aurais employé. Souvenir perdu peut être.
Peut être du fait que j'était jeune j'm'en souviens que peu...ou alors t'es pas marquant tant que ça...

Elle mentait, éhontément. Mais ça il l'ignorait et rien dans les expressions de la jeune fille ne le laissait voir.
Jouer? C'était possible.
Du moment qu'elle avat cette odeur de sang autour d'elle toute fantaisie d'esprit lui était possible.
Et lui en resserant ses liens la faisait saigner un peu plus à chaque fois lui donnant la "force" et la patience de continuer à jouer.

Et s'amuser elle le voulait encore, encore un peu. Pour arriver à oublier ce qu'il faisait. Ce qu'il lui faisait...
Alors on joue quitte ou double.
Les souvenirs qui étaient latents, des souvenirs de 10 ans à peine.
Ils étaient présents et donc faciles à retrouver dans l'esprit de cet homme qui y pensait.

Faire remonter des souvenirs, les amplifier, les compléter.
Rien de bien compliqué pour qui s'entraine depuis l'enfance.
C'était tellement amusant.
Tellement amusant qu'elle souriait, un sourire d'amusement pur.

-On dirait qu'à toi aussi ça rappelle des souvenirs Hypnovell...
Détend toi t'es tout crispé.

Sans qu'aucun fait ne le puisse présager elle tira d'un coup sur ses liens. Elle s'arqua une seconde avant de se détendre à nouveau.
Loins, très loins d'elle l'idée de s'en défaire.
Plutôt l'idée de les renforcer au contraire. Plus ils se renforceraient, plus ils iraient profondément sans ses chaires, plus elle serait loin de là où elle était.
Qui plus est les diverses lames qui tranaient dans ses cheveux et qu'il avait oublié entaillaient sa peau de son dos.

Biensur elle avat mal. Elle préférait souffrir par sa faute propre, que par celle d'un homme qui avait oublié ce qu'était Erode, ou qui ne voulait pas s'en souvenir.
Il avait déjà sa position de supériorité, elle gardait le reste. Ou du moins ce qu'elle pouvait garder.

C'est vrai tout était à sens unique mais pourquoi vouloir s'entacher de sentiments et mémoires inutile?
Mais le fait qu'il était crispé venait plutôt du poison qui parcourait ses veines.
C'était agréable au départ, ca le restait tout autant mais avec des effets imprévus en plus.
Il n'était même pas crevé ni rien, encore moins blessé c'était le moment idéal non?
Il était sur elle, avec elle et liés, rien de mieux pour s'executer sur cette fille.
Il la tenait et c'était claire mais uniquement sur le plan physique, elle voulait maîtriser le plan mentale, mais pour le moment elle ne maitrisait que sa part, mais l'envie d'avoir celle d'Hypnovell ne la dégoutait pas au contraire, elle voulait le voir flancher.

Elle avait tirée une carte, celle des souvenirs, il ne voulait pas s'en souvenir pour une raison, et elle, elle tirait dessus avec force.

-T'es conne ma parole

C'était tout ce que le blond pu dire sur le coup quand les dernières paroles d'Airin furent prononcer.
C'était tout à son avantage de ne se souvenir que d'une partie, mais elle voulait aussi qu'Hypnovell se souvienne de la sienne, qu'elle connerie, une erreure que même le sang n'aiderait pas à faire oublier.
Il était en elle, et encore relativement patient, mais la le déclic lui avait fait perdre patience, la machine se mettait en route toute seule, la Cétra allait rapidement voir qu'il avait changé par rapport à ses souvenirs.
Il commencait ses allers retour, de sa main libre il tenait la jeune fille au cou et de l'autre main il passait les fils sur sa gorge, sa langue elle parcourait le corps attaché devant elle.

C'était simple, ce n'était plus un être vivant qui était devant elle mais une marionette malsaine qui prennait du plaisir à violer la fille qu'il avait entre les jambes.
Il était violent, froid agressif, inhumain, lui ne souriait pas, ne soufflait pas, n'éprouvait aucun plaisirs, juste un besoin physique naturel.
Mais il était déja passé depuis longtemps, si il continuait à la violer c'était simplement parce qu'il voulait la voir en crever, trop d'abus, une violence inouie, une cruautée pure.
Finalement il commencait à pleuvoir, c'était beau à voir, la chemise qu'il portait moulait son corps à la perfection et la elle pouvait voir une idée de ce qu'elle était, couverte de cicatrices plus profondes les unes que les autres.

Lui n'en était ni fier ni déoguté, c'était juste une preuve de plus de sa force et de son mazochisme sans bornes.

Sa langue était vicieuse partout où elle pouvait s'imisser elle y allait, quand elle arriva sur le visage trempée d'Airin elle se logea dans a bouche et la forcait à participer, c'était immonde de le voir aussi enjoué à ca.
Il était prêt à tenir jusqu'aux 23h pour récuperer son arme et ensuite recommencer le jeu, il n'était plus la mentalement, et ne le serait pas avant quelques heures, avant la disparition de ce poison qu'il s'était injecté.

Elle avait joué à quitte ou double...c'était quitte...
Lui faire lacher prise était une utopie en soi mais pourtant elle avait essayer, il falait essayer au moins mais bon...
Elle s'était permi d'espérer et ça pour rien....
Ca ne faisait que confirmer ce qu'elle soutenait depuis longtemps déjà.
De puis la mort de ses parents surrement mais bon...

Penser comme ça était, dans la situation présente, assez ecceptionnel.
Pourtant pas tant que ça, enfin peut être...
Elle ne ressentait, physiqument, rien de ce qu'elle devait au départ.
Biensur elle se sentait en elle. C'aurait été difficile du contraire mais ça ne changeait rien au fait.
Qu'il fasse ce qu'il voulait, elle ne ressentait rien.
C'en était risible, carrément drôle.
Il s'évertuait comme un beau diable, elle ne sentait rien, qu'il continue si ça lui plaisait tant que ça.

Elle en aurait rit si ele en avait eu la possibilié.
La pluie était tellement agréable.
L'odeur du sang était agréable.
Il n'y a que lui qui était, d'une certaine manière, désagréable, dérangeant aurait été le mot.
Ses sens était un peu plus développés par le sang à proximité, elle avait donc pleinement conscience du fait que, s'il ressérait encore un peu trop ses liens, il lui trancherait simplement les veines des poignets, irait aussi trop loin au niveau de la gorge entraiant une agonie assez longue pour elle.

Et alors?
Quitte à mourir c'était une façon parmis d'autres.
Elle le voyait dans son esprit il était moins qu'à demi conscient.
Il ne voulait rien précisément, rien de plus qu'il ne faisait déjà et sa mort prématurée entre ses mains.


*Si tu continues à serrer comme ça, taré congénital, c'est à cause de tes fils que tu vas me faire crever, de rien d'autre!*

Elle s'adressait directement à on esprit. Du fait du "baiser" forcé elle ne pouvait absolument pas parler, alors elle s'en remétait son esprit.
Elle parlait surrement dans le vide mais bon, crever comme ça c'était stupide.

Il en devenait lassant à s'énerver comme ça sur elle.
Pour une fois qu'elle n'avait rien fait...

*Lache moi un peu, respire, tu deviens chiant à force...*

Parler à un mur aurait été aussi constructif à son avis.
Il était conpletement shooté, completement ailleurs...
Mais bon au mois essayer, que d'espoir, que d'espoirs vains surtout.
Il se lasserait surrement un jour ou l'autre.

Du fait qu'il resserait les liens lui-même, elle n'avait rien à faire, même plus à bouger.
Il la faisait saigner. Tous les deux étaient un peu aileurs.
Il n'y avait cependant que lui qui bougeait. Elle restait presque inerte.
Elle se contentait de le regarder.
C'était presque effrayant de le voir comme ça unique certes, mais assez attirant de sa part.
C'en était risible...

La drogue accentuait ses effets sur l'organisme du blond.
Son corps devenait froid et triste mort.
Son regard était vide s'en était impressionnant de sa part, surtout maintenant où tout se jouait sur l'être et le paraître.
Mais à partir de ce moment il n'était plus capable d'être, ce n'était plus qu'un homme qui continuait sans raisons, il continuait sans cesse.
Cela ne lui apportait rien de plus, ni rien de moins.
Finalement l'idée perverse alliée à son inconscience avait eu l'effet d'un électochoc, il lui restait une main de libre?
Il allait s'en servir por accentuer le probleme.

Il plauqua sa main libre sur le sein qui se trouvait à sa portée, plaquant également au sol Airin.
Les fils se relachaient en même temps mais cela n'empechait pas son immobilitée totale.
Il se retira de la jeune fille, de sa main prise par les fils il caressa le visage de la Cétra.
Il restait pourtant tranquille il l'embrassait selon son désir, mais il ne faisait plus rien.

Il avait l'envie de continuer mais il ne pouvait plus, il était mit à mal par l'attitude de sa proie.
Il la maîtrisait physiquement mais apparement l'idée de se souvenir n'avait marcher que durant un temps.
La haine refulait d'un coup d'un seul.
Il se releva subitement et serra aussi avec force les fils sur Airin en esperant provoquer sa mort certaine.
Il sentait qu'il était sur ses os, il les senataient se rompre sous la force que le blond exercait.
Il voulait voir les os d'Airin volé en dehors de sa peau.
Il aurait peut-être raison d'ici peu de temps.
Le temps que son sourire s'accentue et ne laisse la porte grande ouvert à la conscience d'Hypnovell.

Qu'il ai arrêté, c'était une bonne chose en définitive. Voir même une très bonne chose.
Nan le vrai problème présent et passableent très très urgent étai la pressions de la paire de fils que le blond s'amusait visiblement à ressérer.
Ca faisait atrocement mal. D'un coup. Trop mal...

Elle sentait ses os se briser sous la pression.
Si le sang avait inhibé ses pensées quelques minutes avant, la douleur la réveillait totalement.
Ses yeux s'injectèrent de sang dans la seconde se révulsant par la même occasion.
Elle se cambra par la même occasion ouvrant la bouche comme pour crier sans pour autant sortir aucun son.

A ce momentplus rien ne comptait que le fait derestr en vie.
Si ça alertait les Autres c'était pas vraiment un problème tellement important.
Elle se concentra sur les fils qui la mantenaient toujours et lui broyaient les os. Elle les fit se dissoudre dans l'espace la libérant.

Elle était en sang, la moitié des os explosés dans ses bras et jambes lui interdisant tout mouvement.
Ce n'est pourtant seulement qu'après avoir invoqué des vêtements qu'elle se permis de respirer un peu.
Elle n'avait pas ses habitels corset et pantalon en cuir mais d'amples vêtements légers.
Ca pouvait s'apparenter à une robe très large.

-E...Espèce... de salopard... ça te ...suffisait pas...?

Elle avait énormément de mal à parler, à cause du fait qu'elle avait une jolie plaie s'étendant tole long de sa gorge. Deplus la douleur se répendait maintenant au rythme de ses pulsations cadiaques.
La Cétra le regardait dans les yeux, autant que faire se pouvait, des yeux qui n'exprimait presque plus rien désormais ormis une douleur certaine.

Au loin elle commençait déjà à entendre le pas cadencé des Autres qui arrivaient.
C'est à ce moment qu'elle commenca à sourire.
Il allait partir, ce serait déjà une bonne chose.
Elle ne se souciait déjà presque plus de la présence du blond se concentrant uniquement sur une question: comment allait-elle se tirer de là?
Elle n'avait pas le temps de complètement se guérir avant que ces "êtres" n'arrivent.

-Casse toi raclure...
Tu t'es bien amusé maintenant dégage.

Elle commençait déjà à mal tolérer sa présence si proche

La joie n'était pas de mise, elle avait encore jouer mais pour finalement prendre la fuite.
Ce n'était pas son but 1er pourtant.

Les Autres, ces gêneurs arrivaient, et ca il s'en foutait, il pouvait finir au pilier qu'il s'en foutait royalement, d'être enchainé pendant plusieur jours en plein soleil sans nourriture et torturer chaque matin en guise de petit déjeuner qui allait le déranger.
Nan ce qui le dérangeait pour le moment c'est que elle, elle soit encore en vie.
Il n'avait pas de quoi jouer, de toute façon si il restait il serait enfermé à coup sûr.

-T'es sur mon territoire petite pute...

Lui était loin de la fatigue dans laquelle il étiat il y avait encore peu, il n'était plus dans le brouillard, Hypnovell était à nouveau la .
Son regard le prouvait bien et tres clairement.
Il était debout en face d'Airin dans son dos les Autres étaient déja la.
Ils ne s'interessaient qu'à ce qu'ils connaissaient, pour eux Airin n'était pas d'un grand interêt pour le moment surtout en présence d'Hypnovell.

Une des lance amorphe venait passer sur l'épaule du blond pour finir juste sous le nez de la Cétra.
Un sourire faisait frissonner les Autres qui arrivait en face et qui pouvait le voir.
C'était le moment idéal pour tous de fuir, Hypnovell comprit, mais ce dernier ne semblait pas aussi presser de partir, tant que elle était encore la hors de question de sortir des Hauts Quartiers.

Il posa sa main sur le bord de la lance et la poussa de son épaule et se retourna vers le propriétaitre.

-Tu veux de l'aide pour poser ta merde sur moi?

L'Autre recula assez rapidement un regard assez troublé.
Le regard d'Hypnovell lui était sombre, noir et percant, la seule chose qu'il laissait filtre était une envie carnacière de meurtre pour compenser son echec sur Airin, mais en même temps...
Ne pourrait il pas se rattrapper avec l'une des armes des Autres?

-Erode s'appartient entièrement pauvre con. Ce n'est ici aucunement ton "territoire" tu as tes entrées dans les hauts quartiers rien de plus...

Elle parlait. C'était sa seule façon de ne pas céder dans l'isntant à la panique. Panique sourde montante comme un fleuve abreuvé et qui va en crue. Ce n'était cependant aucunement visible.
Elle détestait les Autres de puis l'enfance et ils le lui rendaient sitôt cela possibe.
Aujourd'hui Hypnovell était là, ils ne s'intéresseraient qu'à lui le temps qu'il resterait.
Elle avait du temps s'il ne s'en allait pas dans la minute.
C'était déjà pas mal.
Une utilité au moins.

Elle reposa sa tête au sol se détournant par là même d'Hypnovell, des Autres et de tout être qui pouvait approcher.
Elle perdit simplement son regard dans le ciel déclinant de cette fin de journée.
Tout en laissant vagabonder son esprit sur la beauté d'un ciel innondé qu'elle connaissait peu, elle refermait les plaies visibles qu'il lui avait fait.
Ainsi elle parvint à créer une ambiance tendue.

En effet les Autres ressentaient parfaitement les émanations de magies qui l'entouraient.
Elle n'en avait cure à présent qu'ils étaient là et qu'elle n'y pouvait rien.
Ils jetaient de temps en temps des regards hésitants, pressés à sa silhouette étendue au sol, les bras en croix, un sourire flotant sur le visage, les yeux perdus dans l'immencité de la voute qui les surplombait, avant de reporter leur attention sur Hypnovell.

C'était pas mal finalement qu'il soit là.
C'était une belle journée, quoiqu'un peuhuide sur la fin.
Une belle journée pour mourir en fait.
Son esprit s'égarait de ce côté ocultant totalment le reste, ou presque.
Elle avait juste conscience qu'Hypnovel étai là, qu'ils étaient entourés d'Autres.
Le reste lui passait totalement au dessus, à des kilomètres...

Le jeu devenait interessant, enfin si l'on pouvait encore appeler ca un jeu.
Mais pour le moment il ne restait plus grand chose qui soit d'un assez grand interêts pour le forcer à se battre.
La seule raison qui restait était Airin, mais apparement , tant dans son attitude que dans ses gestes elle ne tenait qu'à une chose c'était de partir.
Quelle aubaine qu'il soit la, elle devait certainement le penser.
Il le savait et il ne voulait pas devenir une chance inouïe pour laisser s'échapper la minode.

Dans son mouvement il tira l'Autre qui avait poser son arme sur son épaule et lui arrcha l'arme des mains avec un vif mouvement qui décapita un autre soldat juste derrière le possesseur de l'arme.
Un sourire fort acquis s'accentua sur les lèvres du blond.
Il était à présent armé, et il allait jouer.

Enfin...
Sans compter sur l'intervention du chef de troupe.
Ce dernier savait et pour cause, qu'Hypnovell n'allait pas rester sans rien faire, il ordonna donc à ses hommes d'immobiliser le blond.
Sans surprise plusieurs hommes occultèrent la Cétra pour se concentrer sur Hypnovell qui était déja prit aux épaule par 2 Autres.

-Dégag...

Ils étaient décider d'en finir avec l'energumène qu'était le Désosseur, et mettaient à bas leurs code de déhontologie et tabassait Hypnovell tout en l'immobilisantau sol les bras coirsé dans le dos.
L'arme qu'il tenait avait été éloigné de sa portée.
Ils étaient à présent 5 sur lui, et ne relachaient pas les coups qui au contraire devenait plus violent.

Quelle aubaine pour Airin, tous l'oocultait pour garder en mains le blond, elle pouvait profiter soit de l'agitation pour fuir, soit pour assister au spectacle sans être inquietée.
Hypnovell ne disait mots, ni même trace de douleur rien, de toutes façon il se foutait de ce qu'il pouvait lui arriver il était fixer depuis bien longtemps sur son sort donc une période sur un poteau ne le dérangeait pas, il y était habitué.